Salut Gérard,
« Pour obtenir le maximum d’efficacité en infligeant le minimum de
douleur, le policier ne doit pas être sujet à une impulsion incontrôlée
(sadisme, colère, stress, etc.). Il doit s’agir d’actes techniques
maîtrisés. »
Oui,« être tous les jours le même » Être le moins possible influencé par les éléments extérieurs ... Sang froid et détermination ... Apprendre à contrôler sa propre douleur, comme contrôler notre réaction face à la douleur infligée à un ou des camarades ... Si le coup reçu fait très mal ... Faire au maximum comme s’il n’avait presque rien fait ... La réaction à ce coup influence obligatoirement les camarades et vis-et-versa... Alors moins la réaction est élevée mieux c’est ! La violence appelle le violence ! Et le pire ennemi de l’homme devient alors sa propre colère ...
Avant de donné un arme à une personne .... Évaluer sur un premier temps sa psychologie, une observation de tout les jours ... Comportement violent, réaction démesurée ... etc ... etc ... Ensuite étudier le comportement de cette même personne avec arme en main en condition « Simulation réel », sur un barème de trop sûr de lui en passant par stupide pour finir à a Trop peur !
En résumé c’est pas l’arme qui est le plus à craindre, c’est celui qui la porte ... (Et ceci et valable bien sûr dans les deux sens du terme) ...
Mais pour ça faut du temps ... On ne fait pas sonner une Stratocaster
comme Yngwie Malmsteen avec juste trois mois de pratique ...