En économie capitaliste, les ressources ne sont pas jamais « naturelles » mais « crées » par l’homme ou les besoins économiques. Lorsqu’une ressource arrive à épuisement elle est tout simplement « remplacée » par d’autres que nous ne connaissons pas encore ou pas usitées.
La ressource du mammouth, l’utilisation du cheval sont épuisées ou obsolètes depuis longtemps, même si elles ont permis a des générations d’hommes de vivre. Le monde a régulièrement changé de ressources.
On n’exploite même pas 0,1% des matériaux présents dans les profondeurs de la terre et des océans. L’espace n’a jamais fait l’objet d’exploitation.
Et a part des endoctrinés écolos, les statistiques de pic du pétrole reposent sur la fumisterie du doigt mouillé. Déjà que les prévisions météo du vent sont souvent caduques. Alors les prévisions de stock entre 600 et 2kms sous terre....
C’est le prix de marché qui oblige l’économie capitaliste à modifier sa ressource de base. Plus on approche d’une offre faible comme la baisse naturelle de la ressource pétrole, plus l’ingéniosité de l’homme capitaliste est efficiente.
L’offre de pétrole devenant rare son prix augmente. Si le pétrole devient cher, elle oblige l’homme capitaliste a chercher plus loin et innover vers dans d’autres directions. Le pétrole plus cher rend rentable la prospection et la découverte de nouveaux gisements qui rend caduque la supposée fin proche de la ressource pétrole ou rend rentable des gisements d’énergie différentes comme actuellement le gaz de schiste.
C’est la dynamique de l’offre démontrée par l’économiste Ricardo « La valeur d’échange dépend de sa rareté ».