@docdory
Instruire les enfants était une mission claire : leur donner des
connaissances dont l’acquisition était mesurable objectivement [ par
exemple, un enfant sait ou ne sait pas faire une division telle que
0,0025 divisé par 0,33 ( quand j’étais gamin, il n’était même pas
question de passer en sixième si on ne savait pas faire ce genre de
divisions sans erreur en fin de CM 2, classe qu’on appelait à l’époque
la septième ! ) ]
je suis de l’époque ou pour passer en sixième il fallait passer un examen , ce que j’ai fait et k$j’ai vu quelques un de mes camarades dirigés pour y avoir échoué vers le cycle court , c’est à ditre le certificat d’études. mais le niveau du certificat d’études était élevé , tout le monde maitrisait les fondamentaux. .
L’éducation était du domaine des parents, mais la discipline régnait, et ceux qui n’avaient pas reçu l’éducation nécessaire étaient vite remis dans le droit chemin.
Le reste de l’éducation doit être la prérogative des parents d’élèves
et d’eux seuls. Ce n’est nullement l’affaire de l’école de faire en
sorte que les enfants soient partisans de l’immigration, ou de tout
autre dogme « politiquement correct » .
Absolument, l’école n’est pas le lieu ou l’on doit inoculer les positions politiques envers les migrants ou les problèmes sociétaux comme les théories du genre et autres balivernes.
Ceci d’autant plus que la base de l’enseignement n’est pas appliquée, faire que nos enfants possèdent les fondamentaux.
Mais on vous traite de réactionnaire si vous évoquez cette époque, certains pensent que ce qui est nouveau est meilleur par le seul fait d’être nouveau. On en voit les résultats.