@OMAR
Ah ! Vous voulez savoir où
étaient les atrocités ?
Voici le témoignage d’un officier qui
a servi dans la légion et qui a terminé Capitaine :
« En Afrique du nord les
mouvements nationalistes se réveillèrent et commencèrent à s’organiser. Les
rebelles tunisiens baptisés « fellagas » (coupeurs de routes) s’attaquèrent
aux tunisiens francophiles et aux indicateurs supposés de la police, on
trouvait des têtes coupées sur les routes, des véhicules et des fermes
incendiées. J’avais eu connaissance de ces évènements par un fils de gendarme. »
« Près de Miliania, tout
récemment les moines de Tibéhirine aidaient et soignaient les populations et
même les rebelles, il furent égorgés ! »
« Dans un faubourg de Sousse, j’empruntais
le milieu de l’avenue en vérifiant que je n’étais pas suivi car l’acte le plus
prisé des rebelles était l’assassinat en tirant dans le dos. »
« La sauvagerie des rebelles à l’encontre
des militaires, des civils européens et musulmans et même entre eux démontre qu’on
ne peut leur faire confiance à quelque bord qu’on appartienne. »
« A aucun moment nous n’avions
utilisé la torture, les civiles parlaient parce qu’ils étaient maltraités par
les rebelles et parce qu’ils nous faisaient confiance, la torture existait bien
mais elle était pratiquée par nos ennemis qui massacraient à tour de bras des
civiles suspects ou récalcitrants. »