@pasglop

C’était pas bien. Mais au moins, ceux-là venaient avec du pognon pour payer et repartaient CHEZ EUX au bout d’un mois... Contrairement à d’autres qui viennent s’installer sans autorisation et surtout sans un flèche. Rien de rien. En conséquence, ils pèsent structurellement sur le peuple français : besoin de... tout ! Solutions ?

Un, restaux du coeur et autres organisations financées d’une façon ou d’une autre par nous. Le peuple français. Autrement dit, le tiers-monde envoie ses pauvres pour faire concurrence aux travailleurs pauvres et aux SDF français. qui vraiment avaient besoin de ça... Je me souviens qu’une question avait émergé il y a quelques années. Comment se fait-il que les restaux du coeur existent encore alors qu’ils n’étaient prévus au départ que pour durer quelques années, le temps de résoudre le problème de la pauvreté ? Réponse : des gens ont décidé d’importer de la pauvreté. Pour que jamais elle ne disparaisse. Grâce à la religion du mélange et du Bien.

Deux, faire une carrière de délinquant. En région parisienne, 75% de la délinquance des transports en commun est le fait d’étrangers... Aller dans un pays étranger pour délinquer, voire pour se conduire comme un criminel ( agressions, viols, épidémie de coups de couteau dans la rue ), ça s’appelle « faire la guerre ». C’est une armée d’occupation. Une armée d’occupation, ça vit sur la bête. Normal. Et qui dit armée d’occupation dit collabos. Ces gens qui, par idéologie ( religion du mélange, racisme inversé, incarnation du Bien ) ou intérêt personnel ( permanents des ONG et autres organisations « pour lutter contre la pauvreté » ) aident d’une façon ou d’une autre à l’installation de ces nouveaux combattants.

Trois, chercher à travailler. Sans pognon. Sans formation. Sans compréhension des codes de la civilisation où tu débarques. Voire sans même parler la langue... Au mieux, devenir un concurrent des travailleurs pauvres et chômeurs français. Alors, dans tous les cas, retour au paragraphe 2 : restaux du coeur et autres organisations de « lutte contre la pauvreté » financées par nous...