Une quatrième commune française anticorrida !
Les campagnes de sensibilisation menées par l’Alliance Anticorrida inspirent les élus et certaines municipalités prennent la décision de refuser expressément la barbarie. Après Mouans-Sartoux, Montignac et Bully-les-mines c’est le tour d’une localité de l’Aude de se proclamer ville anticorrida.
En effet, considérant que : « il ne peut être toléré que la banalisation de la souffrance animale serve au développement lucratif d’un fonds de commerce et que l’État ou les collectivités territoriales, subventionnent les corridas ou toutes activités s’y rapportant. » les membres du conseil municipal de Joucou (Aude) ont décidé, le 13 juin, de déclarer leur commune « Ville anticorrida ». Une décision prise sur l’initiative de leur maire, Emmanuelle Fauche, une élue qui a le cran de faire face aux cris d’orfraie d’une minorité encore sous la domination de pulsions dont la civilisation gagnerait à se départir.
« Une preuve que l’évolution des mentalités est en marche, d’autant que les jeunes générations se détournent, chaque jour, de ce type de "festivités" » déclare Claire Starozinski, fondatrice de l’Alliance Anticorrida.
Car la corrida ne fait plus recette et n’a même plus d’avances sur recettes dans plusieurs villes d’Espagne et de France. Après une période d’engouement irraisonné où la moindre localité voulait sa corrida, le soufflé est retombé.
Aujourd’hui, dans le monde, soixante-quinze villes se sont officiellement proclamées anti-taurines. « Et ce n’est qu’un début ! » conclut Claire Starozinski enthousiaste.
http://www.allianceanticorrida.fr
http://www.petition-anticorrida.org
http://www.villes-taurines.com
81 réactions à cet article
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Agoravox doit-il accueillir le lobbying, fût-il associatif et non lucratif, mais tout de même éhonté ?
Claire Starozinski, « enthousiaste », en est rendue à citer ses déclarations et à parler d’elle-même à la 3ème personne !
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Au moins les espérantistes sont trois ou quatre personnes différentes, et ils sont plus rigolos...
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franck2009 14 juillet 2009 13:53Parler de lobbying quand il s’agit de défense des valeurs élémentaires au rang desquelles : La reconnaissance de l’altérité animale.
Tiens tiens ... un taureau à rendu la monnaie de sa pièce à la gente humaine en encornant définitivement un des bourreaux de son espèce à Pamplune. Il y a quand même une justice. -
Euh, la personne décédée n’était pas matador, hein. C’était une de ces personnes qui courent devant le taureau. Ca fait partie des risques, mais parler de « justice » à cette occasion...comme s’il y avait un bourreau absolu et une victime absolue dans cette joute !
Se réjouir même de la mort d’un « bourreau »(le coureur désarmé ?) par empathie pour une « victime » (le taureau, plutôt bien équipé pour se défendre y compris en pleine nature), c’est tomber aussi bas que le tortionnaire. Se réclamer d’une morale non violente tout en s’autorisant le droit à être cruel moralement, c’est...petit ?
Les « bien fait ! » et autre réjouissances du malheur d’autrui, même consubstantiels aux risques pris, n’élèvent pas la personne moralisatrice.En rapport avec le sujet : bah tant mieux, moins de cruauté et plus de bovins en liberté.
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Vous ne proposez aucune argumentation concernant votre utilisation lapidaire des termes « lobbying » et « éhonté » ? Comment dès lors prendre votre propos au sérieux ?
De plus, manifestement à court d’arguments, vous en êtes rendue à ironiser en faisant remarquer que je parle de moi « à la 3ème personne »
Or, il s’agit d’un communiqué destiné à la presse, qui a été publié sur de nombreux sites par notre secrétariat, ce qui n’a échappé à personne. Sauf à vous semble-t-il...
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Le lobbying éhonté c’est celui des tauromachistes, ceux qui vont aux corridas bien sûr, mais surtout ceux qui organisent ces boucheries pour faire du fric. N’est ce pas ce lobby là, organisateur de la course de Pampelune, à l’affût du fric touristique, qui est responsable de la mort de ce jeune homme ? Peu importe si ce dernier avait agit de sa propre volonté (bien inconsciente...). Que l’on fiche la paix aux taureaux, que l’on arrête d’exploiter ce filon minable comme s’il s’agissait de celui d’une mine d’or, il n’y aura plus de mort et ce sera la fin de cette éducation au sadisme. Pour cela il faudra encore que des élus se mouillent contre les intérêts et le chantage financier. Félicitations à Emanuelle FAUCHE, nous vous soutenons (voyez, je parle à la première personne...du pluriel, car nous sommes majoritaires !)
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Si c’est un communiqué de presse, je n’ai absolument rien contre. Sauf que, a priori, ici nous sommes sur un média citoyen qui n’est pas une boite aux lettres à communiqués. En tous cas, moi je ne m’attends pas à lire ici le communiqué d’une entreprise, d’une institution ou d’une association - sans discuter un instant du fond d’ailleurs - et donc je ne lis pas comme tel.
Le problème est posé autant à Agoravox qu’à vous, Claire Starozinski.
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Ça c’est de l’argumentation... Et si vous ne voulez pas lire c’est votre problème. Pas celui d’Agoravox, ni le mien.
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@ Céline
Vous êtes nouvelle sur Avox ? C’est une tribune, ou chacun est libre d’avancer ses opinions, fussent elles associatives et sans but lucratif.
Au passage, qualifier une organisation associative et sans but lucratif de lobby, si c’est pas de la démagogie, je voudrais bien savoir ce que c’est. -
Cette information est d’un intérêt limité, eu égard à la taille de la commune en question. Mais c’est quand même une bonne nouvelle.
Cela dit, j’attends avec impatience de voir les villes de Nîmes, d’Arles ou de Lunel s’engager dans la même voie tant la corrida est un spectacle répugnant et révoltant.
Un spectacle dont la seule justification avancée par les aficionados est la tradition. Laquelle tradition justifiait jusqu’en 1999 (année de l’interdiction définitive) le lancer de chèvre du haut de certains clochers de Castille !-
@ Fergus et @ la noble assemblée
Je suis très attrist" de rappeler que
FION notre PM blafard et pâlichon
adoooooooooooooooooooooooooore la Formule 1 Bjr l’écologie
adoooooooooooooooooooooooooore les corridas Bjr l’ami des bêtes.
Que cette Assoce avec sa Présidente s’adresse à qui de droit tous les jours et à toute heure ! Nous pauvres citoyens minoritaires anti-PC ( dans le sens Chichi la vermine, PC = petite crotte) sommes démunis.
Aux prochaines échéances, sanctionnez le PC - petite crotte & Co. Ce sera un geste de salubrité publique ! Je vous en remercie par avance : Merci !
ps : hier j’ai en randonnant dans le creux d’un vallon de mes Vosges, j’ai du assister à un carnage ! Concours de pêche à la truite d’élevage : Eau cristalline qui par magie des hameçons a viré en Rosé de Provence de bon teint.
C’est vraiment dégueulasse ! Ces abattoirs à ciel ouvert.
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Encore un discours intégriste sur le lobby d’une pasonaria anti-corrida
Decidement votre discours réducteur est de pire en pire
Vous devriez demander aux talibans une aide charitable dans votre « croisade »
PS : occupez vous des pauvres(les êtres humains) dans votre région plutôt que des animaux qui finiront à la boucherie
http://www.tvargentine.com-
franck2009 14 juillet 2009 13:55Dans une société juste donc sans pauvreté, la corrida n’aurait pas sa place. Je doute que vous soyez capable d’en saisir même le projet !
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« intégriste, lobby, discours réducteur, de pire en pire, talibans »
Voilà les termes que vous employez et c’est bien volontiers que je vous les laisse.Dommage que ce site soit utilisé comme un défouloir pour certains qui n’ont de cesse de déverser leur rancoeur, bien planqués derrière leur clavier.
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Je pense que Lerma doit être argentin. Et bien, il se trouve que la corrida est interdit en Argentine depuis 1891 ! Et c’étaient pas des « intégristes » qui les ont interdit.
Par ailleurs, comparer ceux que sont contre les corridas à de talibans est aller un peu loin, je trouve.
Son dernière commentaire (occupez vous des pauvres) est d’une boludez (connerie) infinie. Comme si on ne pourrait pas s’occuper de plusieurs problèmes à la fois !
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Les talibans ce sont biens ceux là qui coupent des mains, lapident des femmes, exécutent sommairement dans des stades ou tout autre lieu public ceux qui ne se plient pas à leurs lois coraniques ? Les toréros ce sont bien ceux là qui coupent des oreilles et des queues, écorchent et piquent des taureaux sous les olés de la foule, exécutent sommairement ces animaux dans les arènes, comme aux jeux du cirque romain ? J’ai l’impression que le fiel qui semble vous guider vous conduit à la plus extrême confusion...reposez vous.
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PS : occupez vous des pauvres(les êtres humains) dans votre région plutôt que des animaux qui finiront à la boucherie... Ben voyons ! Dis donc Ierma, faut trouver autre chose que ce genre d’ineptie pour justifier ta passion des corridas et ton indifférence envers la cause animale. En général et comme le dit si bien le vieux dicton, qui n’aime pas les bêtes n’aime pas les gens, à l’inverse cela veut dire que celui qui AIME les animaux AIME aussi ses frères humains et fait autant et souvent bien plus pour les Hommes que pour les animaux. Il faut avoir le coeur bien petit Ierma, pour croire que l’amour que nous portons aux animaux et l’énergie que nous dépensons à les défendre, ne laisse plus de place à la cause majeure de la Défense de Droits de l’Homme ! Je te plains Ierma, car si tu n’es pas capable de comprendre que l’amour n’a pas de limite c’est que tu ne connais pas le véritable sens du plus beau verbe du langage humain, le verbe « aimer »
A bas les corridas ! VIVE LA VIE ! -
Tout comme il y a des pétasses friquées qui donnent à Handicap international pour faire chic et portent de la fourrure... Et alors ? Je ne vois pas en quoi ça fait avancer le raisonnement.
Et dire que ça demande aux autres de cesser de dire des « c ; »... -
Gazi BORAT 15 juillet 2009 08:14Où Lerma réapparait pour se faire un peu de pub sur site, obligeamment indiqué en lien.. après une pahase de sarkozisme extrème pour laquelle il semble s’être fait soigner avec succès !
Puique l’on nous y invite, visitons donc « TV Argentine »..
D’entrée, la mise en page, et surtout l’utilisation d’un police détournée de la signature de Walt Disney pour le sous titre détournent tout individu pourvu d’un minimum de sens esthétique..
Bref, le site, comme les commentaires de son créateurs : « Circulez, y a rien à voir ! »
gAZi bORAt -
La pauvreté ne justifie pas la barbarie. Cette dernière n’a jamais éradiqué la pauvreté.
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Je ne faisais que vous citer, mais il est intéressant qu’une petite lettre pudique que vous avez adressée à quelqu’un d’autre vous offense en retour...
Quant au contenu, si l’affirmation de Margarida n’est pas vérifiée dans tous les cas, celle selon laquelle protéger les animaux revient à la haine de ses frères humains est tout simplement dénuée de fondement... -
C’est parti, nous voilà fournis en arguments à la logique bien fallacieuse ! Vulgairement : « pourquoi vous occupez vous du sort des taureaux quand on a des clochards dans la rue ? »... à quoi ça rime ? aucun rapport !
Je ne me contenterai que d’une citation de Michel Dumont (ligue des droits de l’animal) : « On ne brûle plus les chats sur les parvis des cathédrales, les combats d’animaux ont été interdits en 1833, on ne cloue plus les chouettes et les rats ne sont plus crucifiés comme cibles au jeu de fléchettes. Quoi qu’en disent les milieux taurins, la corrida avec mise à mort est condamnée. Si le législateur français, par prudence électorale, n’a jamais voulu trancher cette question, il n’en reste pas moins que la conscience de l’Europe nous imposera un jour, de l’extérieur, par l’intermédiaire des règles communautaires, de faire cesser ces jeux sanglants. [...] Qu’elle s’exerce sur l’homme ou sur l’animal, la torture est la même, de même que son origine, le tout est de savoir quel type de société nous souhaitons. »
Je dis donc Bravo pour cette nouvelle ville anti corrida ! -
Je ne pense pas être trop stupide, mais j’ai quand même dû relire le post de Lerma deux fois avant de comprendre s’il était oui ou non contre la corrida, finalement j’ai compris qu’il était « pour » et se voulait une ode à l’ « art » de la corrida, confirmée par une suite d’expressions qui se veulent poétiques, philosophiques mais qui sont seulement brumeuses et parfaitement ridicules !
Je m’explique :
- El « Toreo » es la « Vida » = Etrange notion de la Vie que celle qui consiste à infliger la pire des morts à un animal piégé, auquel on n’a laissé aucune chance de salut ?
- José Thomas, toréro et humaniste = Antinomique !
- Celle là c’est la cerise sur le gâteau : Des « Joconde », il en dessine 20,30, en un espace de temps qui n existe pas = C’est de la poésie de comptoir, en plus la syntaxe et l’orthographe laissent à désirer, la prétention au lyrisme est parfaitement pathétique et un tantinet avinée !
J’arrête là mon analyse de ce post indigeste et abracadabrant, comme seuls savent l’être les taurins et leur magistrale mauvaise foi.
En vérité la corrida est TOUT sauf un Art !
C’est faire insulte à l’Art véritable que de vouloir y assimiler ce spectacle de tortures insupportables (au pluriel car il y en a une multitude au cours d’une corrida) infligées à un animal qui, pour son malheur, est trop courageux, trop puissant, trop magnifique, bref, le contraire absolu de ceux qui viennent s’exciter du spectacle de ses souffrances.
Les marchands du Temple offrent aux médiocres, aux sadiques, aux refoulés, aux frustrés et aux snobs qui sont légions, quelques heures d’horreur dont chacun peut se repaître en toute quiétude, puisqu’il parait que ce dont ils se régalent n’est pas « cruel » !? Ce n’est pas « mal » de faire souffrir un être vivant dans ces conditions, au contraire, il paraitrait même que ce serait une forme élevée d’ « Art » et même, même, un « honneur » fait au taureau (sic) !
Il n’en faut pas plus pour que tous les dégénérés habitués des arènes se prennent pour des amateurs d’Art ! Ce serait à s’étouffer de rire, si l’enjeu n’était la souffrance et la mort atroce d’un paisible herbivore.
ART ! Grâce à cet euphémisme obscène, les tartuffes « aficionados », pour la plupart aussi incultes que cruels, incapables de ressentir ce à quoi ils se réfèrent, jouissent physiquement de contempler le martyre d’un animal superbe, auquel on n’a laissé aucune chance de sortir vivant du piège à rat qu’est une arène.
En vérité, c’est une insulte à l’Art que de vouloir assimiler la corrida à la forme la plus haute de l’esprit Humain et une imposture de comparer cet immonde carnage à une sorte de ballet sublime, sous prétexte qu’Hemingway, écrivain alcoolique et suicidaire, lui aurait donné, du fond de ses brumes éthyliques, ses lettres de « noblesse ». La corrida, cette quintessence de la cruauté mortifère, n’était qu’une drogue parmi d’autres pour l’écrivain américain. Hemingway, ce grand malade, retrouvait dans l’infâme spectacle, la concrétisation de ses pulsions malsaines, qui le fascinaient en le détruisant. Voilà plus de 50 ans que tous les snobs de la planète se précipitent aux arènes, ils veulent être les « petits enfants » d’Hemingway, ignorant ou se moquant que le « grand » homme fut un père lamentable, qui ne sut donner à ses enfants et petits-enfants que le triste héritage du désespoir, du mal de vivre et du dégoût de soi, conjugué à la tentation du suicide. Triste exemple, qu’aucune personne censée n’a envie de suivre, et qui n’a que le mérite de mettre en relief la perversité malsaine des corridas.
Heureusement, la lutte est engagée et déjà les corridas ne font plus recette en Espagne, chose inimaginable il y a moins d’une décennie, surtout venant du pays où est né la corrida ! Ce miracle est devenu possible grâce à des femmes et des hommes de la trempe de Claire Starozinzky, fondatrice de l’Alliance Anti Corrida, qui bâtissent jour après jours, avec un courage et une pugnacité exemplaire, les fondements d’un monde meilleur, un monde duquel sera définitivement banni l’antique et honteuse survivance des temps barbares, la corrida.
Les générations futures rendront hommage à ces pionniers, la nôtre les remercie …
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anticorrida bravo, moi je suis de mouans sartoux ou nous avons depuis longtemps votés cela
mais n’oublions pas d’autres drames sanguinaires ,entre autre je milite pour interdire les poules pondeuses en batterie de cage,que des exploitants que je qualifie d’assassins martyrisent à seule fin de rentabilité.,ne plus jamais acheter des oeufs ou le code dépasse le2, et faire remarquer autour de soi ce que je vous indique aujourd’hui est tout aussi important que l’anticorrida
amitiés a tous ceux qui le méritent
david liberté de mouans-sartoux-
Lerma, votre fiel est aussi grand que votre inintelligence ! Basta ! Bravo à l’alliance anti corrida et à cette courageuse commune de ne plus soutenir la barbarie.
Une à une, les pierres construisent l’édifice et la corrida sera bientôt boutée hors de France où elle n’est pas à sa place. 80% des français sont opposés à cette infâme cruauté, il faudrait que les tortionnaires se le mettent dans leur petite cervelle : corrida basta ! Assez ! Quant aux guignols des arenes, ils devraient être arrêtés et jugés pour cruauté envers un animal.-
Ce qui s’est passé à Pampelune, bien qu’on ne doit pas se réjouir de la mort d’un homme, n’est que justice. Le taureau lui aussi, quelques minutes après, a eu le corps transpercé de part en part, et il n’avait rien demandé lui ....
Jeux d’un autre âge, pour prouver qu’on en a, alors que le vrai courage se trouve ailleurs, dans la vie de tous les jours, des gens qui se battent pour une société plus humaine, pour des animaux libres, des associations admirables qui ne baissent pas les bras devant l’horreur de ces amusements sanglants, des sadiques venus là, pour assister en toute impunité à la torture d’animaux martyrisés. La tradition a beau dos pour excuser cette abomination. Au placard la corrida, c’est dépassé.
Ce n’est qu’un début. Les villes Françaises à se revendiquer anticorridas seront de plus en plus nombreuses.-
C’est quand même incroyable que les partisans des corridas, qui n’ont pas un seul argument, se croient toujours obligés d’établir des comparaisons spécieuses pour tenter de culpabiliser ceux qui font, et pour les animaux, et pour les humains.
Et vous que faites vous donc ? Poser le question c’est déjà y répondre... -
Parce que cesser de remettre en cause la corrida, ça empêchera subséquemment les petits nenfants de se faire violer ?
Non mais la teneur des arguments qu’il faut pas entendre... -___-’ -
Les gens qui ne disent rien quand on martyrise un enfant à côté de chez eux sont souvent les mêmes connards qui jouissent, le mot n’est pas trop fort, à la corrida. En quoi faire souffrir un animal empêche t’il la souffrance humaine ?
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La conclusion selon laquelle il faudrait accepter les « non-concernés » est particulièrement cocasse à entendre de la bouche de quelqu’un qui se targue de « s’indigner vraiment que des voisins se taisent quand il y a un enfant martyrisé dans le logement voisin ».
Et après vous jeter la pierre de la défense sélective, c’est absolument magistral. -
@ Oncle Archibald,
Je serais ravi de vous voir détailler les arguments RATIONNELS, LOGIQUES, et CONSTRUITS - et non les déclarations de fausses évidences qui n’en sont pas et du « bon sens » qui de bonté, en la matière, est dénué - qui vous permettent de ne pas mettre la vie de ces « quelques bovidés » sur le même plan que la vie humaine, de ne pas leur reconnaître la même respectabilité et d’en conclure qu’une souffrance égale est « barbare » quand elle est appliquée à l’homme mais sans importance quand elle l’est à cette autre forme de vie qui vous paraît aussi éloignée de vous aujourd’hui que les formes de vies des autres non plus espèces mais races apparaissaient éloignées et indignes de respect à vos sinistres aïeux qui étaient tout aussi honteusement racistes hier que vous êtes visiblement spéciste aujourd’hui.
Un petit retour historique permettra fort probablement de voir que c’est sur des bases voisines et globalement similaires du point de vue de l’argumentaire et de la morale que l’on n’accordait hier pas la même valeur ni la même respectabilité à la vie de ces autres « sauvages » qu’étaient par exemple les Noirs que l’on a asservis du fait de cette « sauvagerie » - et donc de cette « infériorité » face à nous autres grands esprits éclairés - tandis que plusieurs siècles de viol systématique de leurs femmes ont créé la couleur de peau café au lait de la population antillaise. Il y en a eu à l’époque, des comme vous à aller fustiger ceux qui luttaient contre l’esclavagisme en arguant qu’il était scandaleux de se soucier du sort de ces sauvages-là alros qu’il était tellement plus important de s’occuper des pauvres chez « nous ». Il y a des gens au rang desquels je compte, cher Oncle, qui ont un « nous » qui n’est pas regardant ni de la proximité de culture, d’ethnie, de race ni même d’espèce des êtres auxquels il s’applique et qui ont une compassion similaire et égalitaire - opposée à une compassion ethno-centére et à géométire variable - à l’égard de toute souffrance et de toute oppression égale par ailleurs. Il y en a qui n’ont aps besoin que la personne - j’insiste et je répète, la personne - en face d’eux fasse partie du même village, de la même région, de la même nation, de la même culture, de la même ethie Ni de la même espèce qu’eux pour s’émouvoir de leur sort lorsque celui-ci est celui d’un oppressé et d’un martyrisé.
Je suis vraiment, mais alors vraiment curieux de vous voir détailler les critères et les caractérisriques qui rendent à vos yeux la vie respectable et la souffrance inacceptable, injustifiable, condamnable et devant être combattue (et ce qui à vos yeux fait cesser ces états de fait) , vous qui semblez ici arborer l’étendard de la Raison Eclairée face à l’obscurantisme. Vraiment, je suis curieux. N’ayez aucune doute quant au fait que je vous attends au tournant et que j’ai fort probablement bien d’argument sur la question que vous n’en aurez jamais.
Bien à vous.
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Il est pour le moins stupéfiant de se voir encore taxé d’indifférence aux souffrances humaines dès qu’on s’intéresse au sort des animaux ; les clichés les plus grotesques on décidément la vie dure. Il faut arrêter de brandir une opposition qui n’existe pas.
« Nous ferions mieux de… » nous dit-on ,à partir de sous entendus suspicieux. . Or justement, nous n’avons pas attendu ces conseils avisés. L’immense majorité des défenseurs de la cause animale participe aussi, chacun à la mesure de ses moyens, à l’aide humanitaire. Et si l’on attend qu’il n’y ait plus aucune détresse humaine sur la planète pour dénoncer la souffrance animale ou s’engager au service d’autres causes, on ne fera rien du tout ce qui, probablement arrangerait quelques uns.
Croire ou feindre de croire que les divers combats de progrès sont exclusifs et incompatibles relève d’une distorsion des modes de raisonnement et aboutit à ce ridicule procès d’intention. Le procédé n’est ni honnête ni cohérent. Les avancées de civilisation sont multiformes et peuvent être concomitantes . Faire reculer la barbarie que constitue la cruauté envers les animaux est une voie que nous ne négligerons pas.
Que des élus locaux aient le courage de déclarer la corrida non grata va dans ce sens ; l’adhésion du plus petit village à cette cause est une victoire. Merci à l’Alliance Anticorrida pour son opiniâtreté.
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Et les mouches ? Quid des mouches ?
Dans ce pays de psychopathes, on trouve en vente libre dans les granfes surfaces, des engins destinées à leur extermination, baptisés du joli nom de tapettes. Dans quel esprit malade, cet appareil de mort a-t-il bien pu germé ? J’aime les mouches car ce sont des animaux discrets, dénués de toute violence. Arrêtons le massacre !
Collectif antitapettes. -
encore ce marronnier de l’été ?
impossible d’expliquer aux anti-corrida la passion de la corrida....autant pisser dans un violon.
Et pourtant , il n’y a ni haine des animaux , ni haine de l’humain dans cette passion .Et pour ceux qui veulent défendre le taureau , le « toro » , animal sélectionné depuis des générations pour le combat - et oh combien choyé dans son élevage - disparaitra en même temps que la corrida ... à méditer....
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Justifier un élevage spécifique à seule fin d’en voir les animaux mis à mort en public, eussent-ils vécu libres jusqu’au jour de leur calvaire, relève de la candide duplicité et manque, dès lors, cruellement de fondement.
La vraie question consiste à s’interroger sur l’utilité des taureaux de corrida. Aucune race, aucune espèce (pas davantage l’espèce humaine) n’est assurée de sa pérennité. De tous les arguments avancés pour soutenir la corrida, celui de la survie des taureaux de combat est assurément le plus dérisoire.
L’aurochs est l’ancêtre de tous les bovidés et du toro bravo. Pour ce dernier, l’homme n’a fait que sélectionner certains caractères physiques et psychiques pour faire évoluer l’ancêtre vers la création d’un animal adapté à la corrida, mais qui n’est en aucun cas une espèce.
Le conserver n’a donc d’intérêt que pour ses utilisateurs qui en retirent une manne à laquelle ils ne sont pas prêts à renoncer.
Enfin, de nombreuses races de bovidés disparaissent tous les jours et personne, à ma connaissance, n’a encore pris la peine de s’en indigner…
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Pas de haine des animaux dans la corrida ! Juste le plaisir malsain de faire souffrir et de tuer un être qui n’a pas CHOISI d’être là.
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Petite réponse à Zarch :
Alors pissez dans un violon, au moins vous serez drôle ! Quand au taureau de corrida, s’il disparaît ce sera grand bien pour lui, puisqu’il ne servira plus d’exutoire à ces foules, minoritaires certes, mais fanatisées par l’odeur de la mort. Quant aux passions morbides...personnellement je consulterais. -
Et pour expliquer aux pro-corrida les fondements de l’éthologie (étude du comportement et des sociétés animales) et de la physiologie, c’est pas dur ? Là, le violon ne suffit pas, il faut une contrebasse. Vous apprendriez pourtant que le taureau n’est ni fier, ni brave, et se contrefout de l’honneur. Vous sauriez que s’il se bat avec ses congénères, ce n’est pas parce que c’est un gladiateur né(les mots mâle alpha et hiérarchie vous évoquent-ils quelque chose ?), vous comprendriez qu’il souffre réellement, et en sauriez plus sur ses handicaps naturels (tiens, la presbytie). En 2009, il serait temps de laisser tomber l’obscurantisme mystico-religieux pour les lumières de la science. Quant à la sélection, laissez moi rire : seul 1/10e des « gladiateurs » a l’honneur de mourir dans l’arène, le reste file à l’abattoir. Si, fait rarissime, un taureau tue un matador, la vache qui l’a mis bas est euthanasiée, pour éviter qu’elle en mette bas d’autres aussi efficaces. La sélection suppose l’amélioration de la race, mais dans ce cas, le but est d’avoir des animaux très forts, et très c... Comprenez vous seulement la corrida ? N’annonez vous pas plutôt des jolis concepts qui sonnent bien. Vos valeurs, je les connais, et ai suivi leur cheminement intellectuel (sic) : c’est de la phraséologie primaire, et ne me fait pas plus d’effet que l’idée que la terre est plate(sinon, ceux qui sont en dessous tomberaient), et que le soleil tourne autour (parce que le créateur ne peut pas en décider autrement). Les USA ont les créationnistes ( le monde a été créé en l’état il y a 6000 ans), nous, on a les afficionados (la corrida sublime notre part d’animalité, Olé !). Je ne sais pas lesquels sont les plus graves.
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Corrida : Je suis un aficionado !Je suis un aficionado ! Donc, pour certains (beaucoup ?) je suis un être primaire et cruel. Que faire d’autre sinon assumer ?...
Taureau, que tu es beau ! Je t’admire parce que tu es un animal magnifique. Dans ton pâturage, tu affiches une puissance paisible. Je désire t’approcher pour jouer comme je le ferais avec un animal familier à qui je ne voudrais infliger aucune douleur. Mais, si je m’approche, je dois éviter ta charge. À ce jeu, ta corne peut être mortelle. Alors, je m’octroie le droit de vouloir te tuer. Bien que, ou parce que, tu es beau et que je t’aime...
Mais, je ne suis pas torero. Je n’ai pas eu l’occasion de le devenir. C’est pourquoi « je » tue les taureaux par procuration. Celle du matador.
J’aime la corrida lorsque le taureau qui entre dans l’arène n’a, en rien, été diminué dans ses facultés. J’apprécie la pique du picador lorsqu’elle est loyale. Sans elle, le port de tête du taureau demeurerait trop altier pour que, plus tard, le matador puisse l’estoquer par-dessus les dangereuses cornes. J’apprécie également l’esthétique de la pose des banderilles quand elle est faite de « poder a poder » et avec imagination. Enfin, j’aime le travail ultime du matador qui, progressivement, maîtrise et canalise les charges du taureau pour le conduire à la minute de vérité : la seule durant laquelle le matador prend un véritable risque car, au moment de l’estocade, il perd la protection de la muleta et s’expose aux cornes. Cet enchaînement de loyauté, de beauté et de courage me permet d’accepter la souffrance et la mort du taureau qui s’est montré brave et digne d’affection.
J’aime aussi le rejoneo qui, à la beauté du taureau, ajoute l’élégance de l’équitation, de la haute école.
Mais, je déteste la corrida lorsque le taureau, préalablement à son entrée dans l’arène, a été diminué dans ses facultés. Je déteste également le picador qui assène des piques vicieuses et assassines. Je trouve ridicule la pose des banderilles quand elle est faite par des banderilleros si soucieux de leur sécurité qu’ils sacrifient l’esthétique et viennent les poser quasiment par derrière l’animal. Enfin, j’abhorre les trop nombreuses fois où les matadors expédient les taureaux ad patres en renonçant à toute ambition de beauté tragique.
Par ailleurs, je considère que le rejoneo est systématiquement gâché par le fait que les taureaux combattus ont toujours les cornes afeitadas. Cela réduit la dangerosité du taureau et rend le combat déloyal. De plus, ce procédé autorise le cavalier à nombre de facilités d’un goût douteux.
De toutes les corridas auxquelles j’ai assisté, je ne peux retenir que celles de Luis Francisco Espla, toujours loyal et respectueux du taureau, ainsi qu’une seule superbe prestation d’Enrique Ponce.
Aussi, considérant la faiblesse du pourcentage des prestations mémorables par rapport au nombre de combats indignes et déloyaux, je ne serais pas autrement étonné que la tauromachie finisse par disparaître progressivement. Et je n’en serai pas, non plus, particulièrement affecté.
Mais, je serai infiniment attristé par la disparition totale et définitive du taureau bravo.
C’est pourquoi je ne pense pas qu’il soit judicieux de procéder à une interdiction brutale de la tauromachie. Il y va du sort d’une race animale ainsi que de l’économie des personnes qui œuvrent dans ce domaine.
Il me semble plus raisonnable et rationnel de prohiber la formation des novilleros afin qu’ils ne puissent plus prendre l’alternative de matador. Ainsi, progressivement, faute de nouveaux effectifs humains, la tauromachie s’arrêtera.
Mais, quid des taureaux bravos ? Le déclin puis la fin de la tauromachie entraîneront, inéluctablement, la disparition de toute la race des taureaux bravos qui seront éventuellement remplacés par des bœufs destinés à l’abattoir.
Pour éviter cela, il faudra que l’économie des corridas soit remplacée par une économie de « safari photo » capable de rentabiliser les élevages de taureaux bravos.
Les anti-corrida seront-ils les meilleurs clients de cette économie de « safari photo » du taureau bravo ?
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Petite réponse à J.P. Llabrés
Que voilà une profonde et belle apologie poétique de l’esthétique de la mort infligée. D’autres, en leur temps (et encore aujourd’hui) , ont aussi bavé de jouissance face aux supplices qu’ils infligeaient...à des humains. Que la perversion soit partie inévitable de l’homme, nous le constatons évidemment tous les jours (à ce propos, il existe tout un tas d’exutoires pacifiques). Mais de grâce, évitez nous l’obscénité en décrivant une boucherie infâme comme s’il s’agissait d’un acte magique et merveilleux ou bien le chant du rossignol !
Quand à la disparition d’un secteur économique : qu’ils se reconvertissent, il y a tant à faire (et à combattre) dans le social (ou je travaille) pour soulager la misère des hommes...et des animaux.
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à Pat de Panic (xxx.xxx.xxx.94) 15 juillet 16:03
"il y a tant à faire (et à combattre) dans le social (ou je travaille) pour soulager la misère des hommes...et des animaux« .À en juger par votre commentaire, il est évident que vous n’avez rien compris à mon texte. C’est inquiétant parce que, si vous avez la même incompréhension dans le social où vous travaillez pour soulager la misère des hommes...et des animaux, il est douteux que vous soyez très efficient ! ! !
L’état du monde corrobore cette inquiétude quant à l’inefficacité des »belles âmes" comme la vôtre... -
@ Jean Pierre Llabrès
"J’aime la corrida lorsque le taureau qui entre dans l’arène n’a, en rien, été diminué dans ses facultés. J’apprécie la pique du picador lorsqu’elle est loyale. Sans elle, le port de tête du taureau demeurerait trop altier pour que, plus tard, le matador puisse l’estoquer par-dessus les dangereuses cornes. J’apprécie également l’esthétique de la pose des banderilles quand elle est faite de « poder a poder » et avec imagination. Enfin, j’aime le travail ultime du matador qui, progressivement, maîtrise et canalise les charges du taureau pour le conduire à la minute de vérité : la seule durant laquelle le matador prend un véritable risque car, au moment de l’estocade, il perd la protection de la muleta et s’expose aux cornes. Cet enchaînement de loyauté, de beauté et de courage me permet d’accepter la souffrance et la mort du taureau qui s’est montré brave et digne d’affection.«
Il y a un mot qui détonne dans ce paragraphe, c’est »loyauté« . Vous dites apprécier une pique loyale (admettons) mais pourriez vous nous expliquer ce qu’est une pique »déloyale" ? Enfin, le but d’une pique, c’est, comme vous le dite d’ailleurs, d’affaiblir le port de tête du taureau pour que le matador puisse faire sa besogne. En quoi est-ce loyal ??
Esthétiquement, ce qui est étonnant dans votre propos, c’est que même avec des termes élogieux et sans image, la description reste gerbante quand on s’y attarde un peu.
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Un texte très bien écrit, en effet, et presque séduisant.
Mais, comme Pat de Panic, je me demande où est la loyauté de massacrer un animal qui n’a jamais demandé à se trouver là et dont le sort est scellé dès lors qu’il est vendu aux arènes par son éleveur-producteur qui « l’aime ».
Si c’est l’adrénaline et la beauté qu’on recherche, tant du côté de celui qui « fait » que de celui du « spectateur », il y en a largement plus dans tous les sports d’extrême tels que le surf, la planche à voile, le parachutisme, le saut à ski .... dans lesquels le sportif s’expose ... et n’expose que lui-même !
Bravo à cette nouvelle ville anticorrida ! A quand la suivante ? La France est décidément bien en retard sur l’Espagne. -
Sacrés vendeurs de voitures d’occasion, toujours à user d’un langage fleuri. Ah ! Vous ne faîtes pas dans la voiture ? Pardon, mais chaque fois qu’un type parle avec emphase, je flaire le bonimenteur. Comme votre histoire de bon picador qui facilite l’estocade en abaissant son port altier, ça marche avec les gamines, mais des vieux routiers comme nous savent que ça sert juste à rendre l’animal moins dangereux pour le guignol en caleçon XXS, mmmhhh ? Le lyrisme de pacotille est juste bon à travestir les faits, et je pense que vous avez trop lu le dictionnaire du parler politiquement correct (on ne dit pas nain, mais homme à la verticalité contrariée, ou dans un autre genre, ne dîtes pas Mendelssohn, mais va ouvrir).
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Ce que je ne comprends pas : comment peut-on aimer et tuer à la fois ? J’aime mon homme, je vais le tuer ? J’aime mon enfant, je vais le tuer ?... Certains trouveront mes écrits répugnants soi-disant parce que là il s’agit d’un animal. Mais la science n’a-t-elle pas maintes fois démontré que tous les mammifères homme inclus souffrent exactement pareil ?
Par ailleurs je ne vois pas en quoi la disparition de la corrida entraînerait la disparition de la tauromachie. La tauromachie ne se résume pas à la corrida, encore heureux. Il existe des jeux tauromachiques superbes et sans cruauté. Intervilles en est un exemple parmi d’autres. D’ailleurs le site de l’alliance anticorrida n’a jamais été contre, bien au contraire, les jeux de vachettes camarguaises (entre autres la course à la cocarde), comme quoi il ne s’agit pas d’anti-tauromachie primaire.
Si l’on prétend vénérer un animal, encore faut-il que l’animal vénéré soit surtout respecté. Il n’y a pas que la cruauté dans la vie... Nous avons évolué. Honorons le taureau de façon civilisée. -
Ola ! Aficionado Llabrès ? Tu sais que ta littérature n’est même pas digne d’un mauvais roman de gare ? Je suis désolée mais il faut que tu regardes la réalité en face, tu n’as aucun talent mon vieux, alors mets un bé-mol sur ton emphase tout à la gloire du « bon » taureau et de la « vraie » corrida, avec envolées lyriques désolantes de platitudes... ta prose est vraiment chiotte, n’est pas Hemingway qui veut ! J’ai eu du mal à lire ton post jusqu’au bout, parce que des phrases comme celle-là = Cet enchaînement de loyauté, de beauté et de courage me permet d’accepter la souffrance et la mort du taureau qui s’est montré brave et digne d’affection me donnent carrément envie de vomir mon repas et ta mauvaise prose n’en vaut vraiment pas la peine, alors j’ai lu en diagonale, ça m’a permis d’éviter le pire ! -
à Canine
"pourriez vous nous expliquer ce qu’est une pique »déloyale« ? »
Une pique est déloyale lorsque le picador « trifouille » dans tous les sens dans la blessure provoquée afin d’affaiblir le toro au-delà du « nécessaire » au regard des qualités physiques du toro."Enfin, le but d’une pique, c’est, comme vous le dite d’ailleurs, d’affaiblir le port de tête du taureau pour que le matador puisse faire sa besogne. En quoi est-ce loyal ?
Je n’ai pas dit qu’affaiblir le port de tête du taureau pour que le matador puisse faire sa besogne, est loyal. J’ai dit que cela est nécessaire pour que le matador puisse passer au-dessus des cornes avec l’épée au moment de la mise à mort."Esthétiquement, ce qui est étonnant dans votre propos, c’est que même avec des termes élogieux et sans image, la description reste gerbante quand on s’y attarde un peu".
Je le comprends. C’est toute la différence entre les pro et les anti corrida... -
à antonyvr
Un texte très bien écrit, en effet, et presque séduisant.
Merci d’avoir bien voulu y voir autre chose qu’une apologie inconditionnelle de la corrida.Mais, comme Pat de Panic, je me demande où est la loyauté de massacrer un animal qui n’a jamais demandé à se trouver là et dont le sort est scellé dès lors qu’il est vendu aux arènes par son éleveur-producteur qui « l’aime ».
L’amour pour les toros bravos et le sort qui leur est fait constitue l’inexplicable paradoxe de la corrida.Si c’est l’adrénaline et la beauté qu’on recherche, tant du côté de celui qui « fait » que de celui du « spectateur », il y en a largement plus dans tous les sports d’extrême tels que le surf, la planche à voile, le parachutisme, le saut à ski .... dans lesquels le sportif s’expose ... et n’expose que lui-même !
L’adrénaline n’est que pour les acteurs (picador, banderillero, matador). Le spectateur n’éprouve que l’émotion esthétique. -
à lamarck
Comme votre histoire de bon picador qui facilite l’estocade en abaissant son port altier, ça marche avec les gamines, mais des vieux routiers comme nous savent que ça sert juste à rendre l’animal moins dangereux pour le guignol en caleçon XXS
Vous me paraphrasez maladroitement. J’ai dit : "J’apprécie la pique du picador lorsqu’elle est loyale. Sans elle, le port de tête du taureau demeurerait trop altier pour que, plus tard, le matador puisse l’estoquer par-dessus les dangereuses cornes". Que dites-vous de plus ? -
Ce que je ne comprends pas : comment peut-on aimer et tuer à la fois ?
L’amour pour les toros bravos et le sort qui leur est fait constitue l’inexplicable paradoxe de la corrida.Par ailleurs je ne vois pas en quoi la disparition de la corrida entraînerait la disparition de la tauromachie. La tauromachie ne se résume pas à la corrida, encore heureux. Il existe des jeux tauromachiques superbes et sans cruauté.
Involontairement, vous jouez sur les mots. La seule tauromachie qui pose un réel problème est la tauromachie avec mise à mort du toro. C’est contre celle-là que s’insurgent les anti corrida.Si l’on prétend vénérer un animal, encore faut-il que l’animal vénéré soit surtout respecté. Il n’y a pas que la cruauté dans la vie... Nous avons évolué. Honorons le taureau de façon civilisée.
L’amour pour les toros bravos et le sort qui leur est fait constitue l’inexplicable paradoxe de la corrida (bis). Je dois reconnaître que nous, les pro corrida, ne savons pas exprimer autrement notre vénération pour le toro bravo. -
Ola ! Aficionado Llabrès ? Tu sais que [...]
Pourquoi ce tutoiement intempestivement vulgaire ? Je ne sache pas que nous ayons gardé ensemble les toros bravos. Et pour cause...ta littérature n’est même pas digne d’un mauvais roman de gare ? Je suis désolée mais il faut que tu regardes la réalité en face, tu n’as aucun talent mon vieux, alors mets un bé-mol sur ton emphase tout à la gloire du « bon » taureau et de la « vraie » corrida, avec envolées lyriques désolantes de platitudes... ta prose est vraiment chiotte,
L’avis d’un autre commentateur anti corrida : « Un texte très bien écrit, en effet, et presque séduisant ».n’est pas Hemingway qui veut !
Je ne voudrais certes pas avoir écrit « Mort dans l’après-midi » que vous devez admirer et qui est d’une imbécillité remarquable : lire ses commentaires sans aucune pitié sur les chevaux éventrés des picadors qui courent en traînant leurs intestins derrière eux (à l’époque de votre grand écrivain, les chevaux des picadors n’étaient pas caparaçonnés) ; votre grand écrivain trouve cela comique (premier chapitre).J’ai eu du mal à lire ton post jusqu’au bout, parce que des phrases comme celle-là = Cet enchaînement de loyauté, de beauté et de courage me permet d’accepter la souffrance et la mort du taureau qui s’est montré brave et digne d’affection me donnent carrément envie de vomir mon repas et ta mauvaise prose n’en vaut vraiment pas la peine, alors j’ai lu en diagonale, ça m’a permis d’éviter le pire !
"J’ai eu du mal à lire ton post jusqu’au bout« et »ta mauvaise prose n’en vaut vraiment pas la peine, alors j’ai lu en diagonale« : »jusqu’au bout« et »en diagonale« sont contradictoires.
»ça m’a permis d’éviter le pire !« Comment savoir sans avoir lu intégralement ?
»me donnent carrément envie de vomir mon repas". C’est votre problème ! ! ! -
Merci à L’ALLIANCE ANTI-CORRIDA d’oeuvrer sans relâche pour abolir ces spectacles immondes et merci aux élus qui osent, malgré le lobby de la tauromachie, déclarer leur commune anti-corrida
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En Espagne, 70 villes sont maintenant abolionnistes.
MC
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La liste officielle des villes dans le monde
http://www.allianceanticorrida.fr/Docs_atelecharger/villes_anticorrida.pdf
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MERCI A CETTE PRESIDENTE DES ANTI-CORRIDA ET AUX PERSONNES COURAGEUSES QUI LUTTENT CONTRE CES PASSIONNES DE SANG !
QUAND LA FRANCE SORTIRA T ELLE DE L OBSCURANTISME ?
MERCI AUSSI A CES ELUS QUI OSENT AFFRONTER CES GENS DE PEU
QUI SONT SOUTENUS PAR LES GOUVERNEMENTS PUISQUE LA LOI
AUTORISE CES SEVICES DIGNES D UNE EPOQUE REVOLUE !
LA FRANCE POURRAIT DONNER L EXEMPLE !
ALORS SARKOZY, AU TRAVAIL !!!-
Le taureau est un animal pacifique et n’est agressif que sous le stress ou sous l’attaque.
J’ai souvent donné des pommes à ces bêtes, mains ouvertes vers eux, derrière la clôture qui borde leurs prés, celà sans aucun problème, et j’ai eu en retour des regards pleins de douceur...
Aucune valeur humaine ne justifie la souffrance et la mort d’un animal pour le plaisir du spectacle et la corrida est un spectacle dégradant, indigne de l’humanité.
A MORT LE SPECTACLE CHAROGNARD ! VIVENT LES MAGNIFIQUES TAUREAUX !-
Comme je vous comprend... Moi, c’est pareil. Je lui donne des gâteaux. Il en est friand. Et moi aussi, en retour, j’ai droit à des regards plein de douceur... Du coup, je grimpe dessus et nous partons nous promener dans les rues de mon village, pour la plus grande joie des bambins qui courent autour de nous.
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Dé qué rist le fat ? Dé ço qué nou sap !
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De quoi rit l’idiot ? De ce qu’il ne sait pas.
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Au fait ! j’avais oublié...vous collectionnez les mouches à merde, non ?...
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Petite ville mais grande nouvelle !
J’ai toujours trouvé ce spectacle pour détraqués, répugnant, indigne, a vomir.
Et si on interdisait les vachettes dans les jeux télévisés, ce serait un premier pas pour éviter aux touristes naïfs d’aller voir une corrida en croyant voir un spectacle banal, alors que c’est une torture en plein air pour tarés.
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petite ville certe, mais je remercie vivement emmanuelle fauche pour cette prise de conscience suivie d une réelle action.
arretons de banaliser la violence et le meurtre. non, tuer et faire souffrir n est pas un art, ni un spectacle, si ce n est aux yeux de personnes à l’équilibre mental douteux.
quand au rapport beauté/ envie de meurtre dont parle un afficionado dans un commentaire précendent !! il faut donc détruire ce qui est beau ? tuer ce que l’on admire, pourquoi pas aussi ce ( et ceux ???) que l’on aime ???
désolée, mais je trouve au delas de malsain que de se repaitre des souffrances d’autrui, que l’autrui soit animal humain ou non, quelque qu en soit son ethnie, sa race...-
a oncle archibald :
« Moi ce qui m’indigne vraiment ce sont les voisins qui se taisent quand il y a un enfant martyrisé dans le logement voisin sur le même palier, ceux qui se taisent quand des jeunes filles sont violées dans les caves de leurs immeubles transformées en caches de drogue et en sordides baisodromes. Ce qui m’indigne c’est que les victimes ne puissent même pas dénoncer les petits cons qui ont brûlé leur voiture par peur d’être obligés de quitter leur logement et de se retrouver à la rue, etc .... »
si vous voulez « jouer » sur ce terrain, on trouve toujours des « horreures plus affreuses », de quoi s indigner d avantage encore, plus malheureux que soi... etc...
le prétexte du pire doit il devenir celui de l accepetation ? comment classer les horreures ?
rien qu en prenant vos exemples, regardez dans le monde, il y a pire que de se retrouver a la rue en france... une jeune fille est violée ? eh bien, il y a pire !! certaines ensuite seront tuer, d autres auront le sida... et puis violer par une seule personne ? eh bien ce n est rien aux regards des « tournantes »... un enfant martyrisé ? violence physique sous forme de coups vous voulez dire ? l inceste n est il pas pire ? aussi l enfant battu selon votre logique devra t il s estimer bien heureux, surtout si les sévices lui permettent malgré tout de rester en vie, ce n est pas le cas pour tous.désolée de ne pas tout relire pour citer le bon pseudo, mais qui parlait d un certain rapport entre la pauvreté et la corrida ? et les enfants pauvres qui se prostituent, c est donc tres bien aussi ?? une fois de plus , déplacer vous dans l echelle de valeur de vos arguments : comment définir cette echelle de souffrances subies qui donneraient le droit d en faire subir a d’autre ? en fonction de son niveau de revenu , on aurait donc le droit de pratiquer tel ou tel acte barbare, le manque d argent n’etant pas la seule souffrance dans la vie, il faudra y ajouter les souffrances morales et physiques, en tenant compte des gouts et des défouloirs de chacun, sans compter qu une meme peine, une meme blessure sera ressentie differemment en fonction de chacun. ainsi l’on pourrait immaginer un raciste atteint d un cancer ayant le droit de commettre un meurtre sur une personne d une autre race, une femme violée pourrait faire flamber quelques voitures... la précarité dans l’enfance donnera le droit de faire un casse ou au moins de voler la mémé du quartier, et le jeune au physique ingrat pourra vitrioler son voisin, lequel a son tour, pourrait peut etre égorger sa voisine ?? bah, oui, pourquoi pas ??
on s’égarre ??? oui !! absoluement, tout simplement parceque rien ne tient la route lorsqu il s agit de défendre la violence la barbarerie et le meurtre et de vouloir trouver des justifications la ou il n y en a pas.
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ne dit-on pas que celui qui est fidèle dans les petites choses le sera aussi dans les grandes .
c’est par de petites actions et de peites graines semées que de grandes réalisations se feront .
à force de repandre des petites gouttes , de grands océans seront crées pour enfin bannir à jamais la corrida .
youb solo-
Ce sont les petits ruisseaux qui font les grandes rivières, et il est préférable qu’un petit village s’ajoute au rang des réfractaires.
Félicitations à Alliance anti-corrida pour leur courage, leur patience, leur dignité et leur résistance à tous les discours violents, intolérants, agressifs, et souvent de mauvaise foi.
Je n’arrive toujours pas à saisir l’intérêt des personnes critiquant ceux qui se battent contre la violence quelle qu’elle soit.
Quant à ceux et celles qui tiennent le genre de discours tels que « vous feriez mieux de vous occuper des gens », ce sont souvent ceux qui ne font rien et qui regardent sans mot dire les actes de malveillance se perpétrer et/ou qui se précipitent sur les lieux d’accidents, prenant ainsi leur dose d’hémoglobine.
Je suis fière de rejeter toutes formes de violence sur les animaux, comme je n’accepte aucune forme de violence envers les humains.
Et lorsque je lis certaines réactions, j’aurais tendance à sourire devant tant d’ignorance et devant tant de pompeuses déclarations des sempiternels donneurs de leçon dont la prose importe peu devant ces petits pas qui redonnent petit à petit une image positive de l’humanité reprenant ces droits.
Ocelot-
Où est la compassion, l’intelligence de coeur, le respect de la vie de ces gens, la plupart avinés, qui se dorent au soleil sur les gradins, et qui jouissent du supplice et de la mort d’un animal splendide ? Ces gens qui tolèrent la cruauté sublimée,qui se délectent de ces bêtes assassinées et qui font perdurer par leur « passion »ce spectacle odieux.
Comment les considérer autrement que sur fond de rancune et de dégoût ? -
Brutes : certainement
Avinées : une majorité
Au lendemain des férias, ces villes n’exhalent que le vomi et la pisse. -
Tiens, un topikatroll !
Lamarck, qui aurait mieux fait de se taire, et de se terrer, a dit :« Pardon, mais chaque fois qu’un type parle avec emphase, je flaire le bonimenteur. »
Quelle démonstration de pauvreté intellectuelle, quelle attaque ad hominem, quelle belle combinaison !
Je ne rentrerai pas dans le détail des arguments pro ou anti corrida, pour le moment, mais le fait est que nous avons là un individu qui défend une thèse avec panache, et pour tout dire, talent.
Et que lui répond-on ? Qu’il n’est qu’un bonimenteur. On ne s’intéresse pas une seconde à son point de vue, nuancé, ou à ses arguments, pour se livrer à une attaque ad hominem, dont on devine qu’elle est l’expression d’une frustration. Le renard de la fable, incapable d’atteindre les raisins vermeils en conclu qu’ils sont « trop verts et bon pour des goujats », de même, Lamarck n’arrive pas à atteindre les hauteurs intellectuelles et littéraires de celui qu’il contredit, et fait une réflexion tout aussi ridicule et infondée. Fit-il pas mieux que de se plaindre ?
Typhon
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Dans cette discussion animée où s’affrontent, comme dans une arène, les « pro » et les « anticorridas », j’aimerais que nous ayons une petite pensée pour tous les toreros tombés au champ d’honneur.
Je dédie ce commentaire à tous ceux qui se sont fait encornés par un animal bas du front incapable de comprendre que le petit être sans défense, tout de rose vêtu, agitant un mouchoir rouge à quelques pas de ses cruelles cornes, souhaitait seulement s’amuser un peu avec lui. Honneur à ces hommes !-
Certains textes reflètent une inconscience et une connerie humaine sans limite.
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Y’ a pas d’quoi !
Bouco barrado, mousco nou y entro... -
Quand la bouche est fermée, les mouches n’y entrent pas.
C’est rigolo votre patois. Et puis, c’est facile à comprendre. Par contre, à l’oreille, c’est moche.-
Alors ! A quand l’expo sur les mouches à merde ?
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Comme à travers vos derniers commentaires, je constate, pour je ne sais quelle raison obscure, que vous éprouvez un profond mépris pour nos amies les mouches et que la vue d’une d’entre elles manifestement vous révulse, j’ai préféré modifié mon avatar pour remplacer la mouche qui l’illustrait par une autre bestiole.
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XF avait pour avatar une MOUCHE A MERDE qu’il s’est empressé d’effacer après avoir pris connaissance des questions que je lui posais sur sa collection et son éventuelle expo...
C’est dommage, la première image est toujours la bonne... quant à la seconde, tellement
banale, connue et reconnue, qu’il en est décevant. -
Ah ! tant mieux... Je suis heureux de constater que, contrairement à mon avatar précédent qui représentait une mouche, la vue d’un taureau agonisant vous indiffère. Je conserve donc cet avatar et je vous prie de m’excuser si je vous ai précédemment choqué avec la photo d’un innocent scatophage du fumier que vous appelez avec dégoût, une mouche à merde.
Collectif antitapettes. -
Pensez à porter plainte sur la disparition de votre avatar et aussi à fermer votre bouche, afin que les scatophages du fumier n’y entrent plus !
Adichatz anti-mouches à merde ! -
Adichatz pro-mouches à merde... ( erreur de frappe )
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Plus sérieusement, pour en revenir à la corrida, ce sport noble qui glorifie l’animal en le plaçant au coeur du spectacle, je pense que c’est un honneur pour le taureau de rentrer dans l’arène. D’ailleurs, je ne sais pas si vous l’avez remarqué, il n’y entre jamais à reculons mais à pleine balle, heureux à l’idée de se farcir un matador, ce qui Dieu merci, arrive très rarement.
Le taureau, animal orgueilleux pénètre dans l’arène tout guilleret car il sait qu’il peut dans le pire des scénarios, mourir sous les applaudissements et les « vivas ! » d’un public en délire. C’est quand-même plus intéressant que de mourir électrocuté au fond d’un abattoir sordide... d’autant plus que dans une corrida la mort du taureau est indolore : il faut savoir que les banderilles sont bourrées d’anesthésiants. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle elles précèdent toujours le coup de grâce, lorsque le matador plante son épée, l’animal est déjà complètement endormi. -
allez une petite chanson en l’honneur de l’Alliance anticorrida !
http://www.youtube.com/watch?v=m1ET6SEtwbc
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