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hugo BOTOPO

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  • Premier article le 28/09/2013
  • Modérateur depuis le 22/12/2014
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Derniers commentaires



  • hugo BOTOPO 22 avril 18:17

    @Octave Lebel
    Récupération de 90 Md€ de recettes fiscales :

    Vos propositions se tiennent mais le déficit public ne sera pas réduit d’autant, car certains prélèvements « nouveaux » vont réduire les bénéfices donc les impôts sur les bénéfices. Les « allègements de cotisation sociales » vont améliorer les comptes de la Sécurité sociale, mais aussi relancer une couche supplémentaire de délocalisations et de chômage induits.

    Inutile d’essayer de faire des évaluations, car le « bénéfice global » de cette opération « de justice fiscale » que j’approuve dans son principe, aura une influence négligeable sur les comptes publics. En effet :

    -1- le déficit public va diminuer théoriquement de 90 Md€ ce qui permettra de présenter des comptes publics se rapprochant de l’équilibre, donc d’une France bon élève de l’UE. En fait la baisse sera inférieure aux 90 Md€ !
    -2- la dette publique va continuer à augmenter en valeur absolue, même si elle baisse légèrement en valeur relative au PIB.
    -3- si l’on ne fait rien (comme probable) il faudra emprunter les 90 Md€, ce qui coûtera en intérêts environ 2,5 Md€ / an ! Le déficit apparent ne sera que majoré de cette somme ! Avec toujours un déficit public que certains pseudo spécialistes jugent excessif !
    -4- reste à préciser quels seront les retombées négatives de la ponction des 90 Md€ sur l’économie française, et qui va réellement et finalement en payer le prix ??



  • hugo BOTOPO 22 avril 17:44

    @Octave Lebel
    La BCE a racheté 3000 Md€ de dettes publiques des états européens
    En émettant de la monnaie sous la forme des QE (quantitative easing) pour racheter aux banques des titres de dettes qu’elles détenaient : cela leur permettait de reconstituer des liquidités pour les injecter dans l’économie. 

    Pour les Etats européens rien ne changeait si ce n’est qu’ils versaient à la BCE les intérêts prévus sur les titres et qu’ils devaient rembourser aux échéances le capital dû ! Pour ce faire certains Etats devaient emprunter sur les marchés financiers !

    A ne pas confondre avec la crise grecque (au bord du défaut de paiement) où d’une part la meute des banquiers qui avaient fait exploser les taux d’intérêts, a dû prendre en charge environ 100 Md€ de capital*, et d’autre part, la plus grande partie restantes des emprunts a été rachetée par la BCE qui percevait les taux élevés prévus lors de la souscription, puis les remboursements du capital. Après chaque remboursement intégral du capital d’un emprunt arrivant à l’échéance, la BCE reversait à la Grèce les intérêts qu’elle avait perçu sur cet emprunt.



  • hugo BOTOPO 22 avril 17:22

    @titi
    pour le Japon
    dans le & 2 j’indique que la balance commerciale étant systématiquement excédentaire (sauf suite à Fukushima et à l’envolée (russo-ukrainienne) des prix du gaz et ,du pétrole et aussi du charbon), les Japonais consommant moins qu’ils ne produisaient, épargnaient massivement : et que l’Etat japonais se servait des dépôts de l’épargne à la Poste (rémunérée à taux zéro pendant des décennies puis ensuite à 0.5%) pour combler son déficit budgétaire ! Indirectement la dette japonaise  détenue par la Poste est indirectement détenue par les possesseur des comptes de dépôts à savoir les épargnants. En France aussi, les épargnants français peu gourmands des actions détiennent une partie importante de la dette publique par l’intermédiaire de comptes d’épargne et de compte courant.

    Pour les cadres et professions libérales, une grande partie de leurs cotisations de retraite et de complémentaires santé n’est pas prise en compte dans les comptes publics nationaux présentés. Seule la partie obligatoire est prise en compte.

    Pour le « principe de répartition » seuls les coûts de santé (ou de défauts de santé) entrent dans ce dispositif. Les cotisations de retraites variables avec les revenus et les options choisies, donnent lieu à des pensions individualisées et tiennent compte des versements : C’est un mélange de pure répartition et de capitalisation indirecte.



  • hugo BOTOPO 15 mars 18:10

    @ZenZoe
    Les précautions hospitalières sont souvent insuffisantes, car le plus souvent se sont les opérés qui sont porteurs sur leur peau (des milliards de bactéries et de virus) sur leurs muqueuses et dans les intestins et les systèmes respiratoire et urinaire (plusieurs milliers de milliards de bactéries et virus !). Et on ne peut faire tremper ou laver énergiquement à l’eau de Javel pour une aseptie parfaite ! En absence de plaie ces petits monstres paraissent inoffensifs !



  • hugo BOTOPO 5 août 2023 14:51

    @titi
    La pensée occidentale est certes à l’origine de beaucoup de concepts et d’idéologie ayant traversé le monde ; mais elle n’est pas la seule !
    La démocratie est un des modes de gouvernance étudié par les penseurs grecs de l’Antiquité ( avec la timocratie, l’autocratie...)
    Le libre échange était le mode pacifique de relations commerciales dès l’antiquité : il n’y avait pas vraiment de monnaies de contre valeur. Il y avait échange « équilibré » entre des produits. Le libre échange sévissant actuellement est un système de domination du plus fort, un système d’asservissement : des fournitures contre des dettes, contre la destruction des capacités productrices de certains pays ou entreprises à éliminer : des dettes et du chômage ! Les plus forts ont su prendre des mesures de protection : par exemple le « Glass-Steagall Act » de 1933 aux USA, et toutes les mesures plus récentes.
    Les BRICS sont un regroupement de pays voulant nouer des relations commerciales sans dépendre du dollar, sans emprises des tribunaux américains : enfin, ils se sont mis d’accord pour créer une monnaie commune d’échange, comme l’euro à ses débuts.
    Les idéologies communistes sont des dérives des penseurs occidentaux post « Révolution française », constatant que nos révolutionnaires -essentiellement des bourgeois ont pris le pouvoir aux nobles, au clergé, à la royauté, sans se soucier du menu peuple, celui qui travaille dans les champs et les usines en développement et qui souffre de conditions misérables (sans parler de la soumission des femmes !). Les Proudhon, Engels, Marx, ont voulu y remédier : la mise en application par Lénine, Staline, Mao et les Khmers rouges s’est traduite par de l’autocratie, la dictature du parti et de son chef éclairé, et les massacres massifs de leurs population par millions (Cambodge), et dizaine de millions (URSS et Chine) : ceci n’était pas revendiqué ni proposé par les penseurs occidentaux du XIX ième siècle ! La pensée occidentale de base était donc une déviation, une malédiction des pensées des Lumières !
    Les hôpitaux, les écoles sont très anciens : déjà au Moyen Age pour les hôpitaux et déjà chez les grecs et romains pour les écoles. cela n’a rien à voir avec notre Occident moderne en dislocation ! Les hôpitaux aux USA sont majoritairement des entreprises privées lucratives : tu payes ou tu claques ! Et maintenant chez nous en Europe le monde médical est de plus en plus inféodé à l’argent, aux profits  !
    Le souhait de vouloir consommer sans se soucier des ressources et des pollutions, sans la moindre réflexion sur les équilibres, n’est qu’une perversion de l’Occident matérialiste libéral.

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