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Eric

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Né en 59, à l'école jusqu'en 3ème, j'enfile un bleu de travail à 16 ans qui ne quitera plus mes épaules, je bouffe de la mécanique depuis 40 ans, j'ai le dos et les articulations en bouillie, j'ai les mains calleuses et une sciatique chronique, je suis, je suis ?!... Fatigué... Mais j'ai gardé mon esprit critique, une passion pour le bloging, et mes allergies au politiquement correct et à la langue de bois. Je m'applique à décaler mon regard sur l'actu et notre société, et à le retranscrire avec le ton qui convient... Pourvu que ça dure.

Tableau de bord

  • Premier article le 29/05/2007
  • Modérateur depuis le 02/10/2007
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Derniers commentaires



  • Eric eric 15 février 2016 10:31

    Pertinente analyse.
    Dénoncer un système pervers dans lequel lui même se fourvoie , c’est l’aberration que ce gouvernement (et les autres avant lui) met en avant.
    Ces dérives conspirationnistes ne sont pas nouvelles, et existeront toujours. Leur prolifération est pourtant soigneusement entretenue par les mensonges d’états pléthoriques que nos élites ont elles-mêmes mis en place. De la petite manipulation sur des thèmes simples (chômage, délinquance, immigration,etc..), aux plus plus grosses machinations internationales (armes de destruction massive, etc..), les politiques du monde entier n’ont pas épargné leurs efforts pour s’y adonner...
    Réduire le phénomène à une simple mise en cause du web et de ses dérives, n’est rien d’autre que le détournement de leur responsabilité. De l’enfumage, donc.. de la manipulation.
    CQFD...
    J’y suis allé de ma petite réflexion également, soumise a modération sur Agora.



  • Eric eric 13 septembre 2008 12:45

    Analyser un des travers de Sarkozy et s’en indigner ne fait pas forcément de moi un cocu du sarkozisme. A moins de souffrir de l’état d’esprit étriqué dont sont trop souvent affublés les "antisarko" compulsifs, on peut avoir voté Sarko et dézinguer sans état d’âme ses cotés obscurs sans jeter tout le reste.



  • Eric eric 13 septembre 2008 10:11

    Bon papier.
    D’ailleurs, les deux monologues qui nous ont été dispensés hiers à l’Elysée illustrent assez bien vos craintes. La volonté manifeste chez les deux hommes de voir se modifier les fondements de notre laïcité pour les mettre en raisonnance avec leurs ideaux, apparait doucement mais sûrement derrière un phrasé et un ton qui se veulent "tartinés" de tolérance, de sagesse et de pondération.

    Chez Benoit 16 on peut le comprendre, surtout quand on connait le virage traditionnaliste qu’il est en train de faire prendre à sa crèmerie. Chez Nicolas Sarkozy c’est beaucoup plus inquiétant et ça laisse planer quelques doutes sur la teneur des orientations qu’il va faire prendre au pays.
    Les 24 "très Saint-Père" qui ont ponctués les 18 minutes de son allocution et cette fascination jubilatoire et incotrolée qui illumine son visage au contact du souverain pontife, ne me rassurent pas sur la suite...



  • Eric eric 28 août 2008 12:04

    Il n’est pas contestable que la gauche, qui aurait été bien inspirée de faire de la pénibilité au travail un cheval de bataille sérieux et prioritaire, a, comme dans tant d’autres domaines, préféré se concenter sur ses querelles de clocher et ses autopsies obsessionnelles de la moindre des "flatulences sarkoziennes"...
    Car s’il est un combat de gauche légitime, c’est bien celui-ci. Surtout d’une gauche d’opposition atone et en mal de crédibilité.
    Son attentisme récurrent (voire son autisme)dans ce dossier de société majeur, laisse passer encore une fois une bonne occasion de défendre une cause sociale qui ne pouvait que susciter l’adhésion populaire et drainer une opinion publique lassée par une opposition politique incapable de canaliser les ardeurs du pouvoir en place.

    Que les responsables socialistes ne viennent donc pas se lamenter sur les outrances verbales et le cynisme nauséabond de M.Clédat.
    Car s’ils avaient fait preuve de la même réactivité pour soutenir les syndicats pendant ces trois ans de négos, que celle qu’ils déploient pour former des délégations d’affichage en tête des cortèges de grèvistes de la fonction publique, le MEDEF n’aurait peut-être pas eu les coudées aussi franches pour laisser ce genre de guignol imposer ses élucubrations de négrier et avoir le mot de la fin dans ce dossier.
    Bon papier, qui rejoint ce que j’avais évoqué fin juillet.



  • Eric eric 13 juin 2008 16:41

    Ceux qui m’ont offert mes acquis sociaux étaient probablement à des années lumière de la vulgarité qui suinte de votre commentaire, et auraient à coup sûr choisis un avocat d’un tout autre niveau que vous pour défendre leurs causes.

    J’ai néanmoins la décence de penser que vous avez le droit de vous exprimer en ces termes sur moi ou sur mon blog.

    Je ne pense pas que l’étroitesse de votre esprit, la quantité de vos neurones exploitables et le probable sectarisme de vos idées vous permettent d’en faire autant.

    L’auteur.

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