@Nicolas Ernandez Oh oui, un article sur Dylan ! Autant, je n’ai pas trop aimé l’article sur les Beatles, autant celui-ci m’a bien plu ! Brian Wilson ne nous a en effet jamais livré tout ce qu’il aurait pu (du) nous livrer et c’était un génie comme la musique en compte peu. Un peu à la Syd Barrett, dont le passage aura été encore plus furtif. Et n’écoutez pas ceux qui nous réclament du français, ce n’est pas votre faute si, sur ce point, on n’est pas à la hauteur. Les concerts en France, pendant lesquels les gens n’arrivent pas à frapper en rythme ou les stades, où ça chante méchamment faux et où les chants sont en « décalé » au bout de 30 secondes illustrent d’ailleurs assez ce côté français finalement peu musical. On a eu de grands écrivains, de grands peintres, mais au niveau musical, ça reste assez pauvre. Après, ça n’empêche pas d’en avoir de bons (de Gainsbourg à Air par exemple) mais j’ai l’impression que nos plus grands étaient avant tout des chanteurs à texte (Brel, Ferré, Brassens..). Et donc, j’attends désormais l’article sur Dylan avec impatience !
@paoum Je ne suis pas vraiment qualifié pour préconiser des solutions de rechange, toutefois, il me parait indispensable de penser autrement la distribution de musique. Et vous aurez noté que j’en évoque 2, qui permettraient, me semble-t-il, de rémunérer tout le monde. Avec un peu d’imagination, chacun ou presque pourrait y trouver son compte. Voilà tout ce que je dis, car, évidemment, je souhaite que les musiciens continuent d’être payés et, à titre personnel, j’achète des disques (beaucoup) et je vais à des concerts (encore plus).
Improbable cet article... Faire des Beatles la référence des ténèbres et de tout ce qui touche au sombre alors que pendant qu’ils sortaient Sgt Pepper, le Velvet pondait son album à la banane. vraiment surprenant ! Et même le grand rival de l’époque, les Stones, ou Dylan (le meilleur d’entre eux comme dirait le grand Jacques), que tu cites, ils étaient quand même plus « dark » que les Beatles, non ?
Sympa l’article, mais le 1er double album de l’histoire de la pop music (Blonde on Blonde de Bob Dylan ; sorti en 66) n’aurait-il pas mérité d’y figurer ?