On ne peut que féliciter l’auteur d’avoir souligné ceci :
« Il existe en tout être humain un « mal être », une « insatisfaction existentielle » (Dukkha en sanskrit, mal traduit par « Souffrance) »
Quoique le « tout être » soit excessif.
Et pourtant de doctes auteurs très réputés et pratiquants parfois, hélas, commettent cette erreur foncière à propos de Dukkha.
Effectivement il n’y a probablement qu’un fond de vérité dans l’histoire de ce bouddha-là, ce qui est un peu ennuyeux.
Il y a un regret majeur à exprimer et à conscientiser : sauf erreur le bouddhisme initial et toutes ses « chapelles » depuis sont athées et ça c’est une erreur insensée, surtout si la méditation ne finit pas par faire revenir dessus
Mais une vie de bouddhiste peut constituer une épreuve enrichissante dans l’évolution spirituelle dont l’aboutissement finale est la retour à/dans la Source Eternelle Bienveillante (ou Aimante ?) de tout.
Parce que notre Source à tous ne pouvait rien nous souhaiter de mieux comme raison d’être : s’efforcer chaque jour vie après vie d’être de plus en plus altruiste, ce qui suppose de s’efforcer donc chaque jour d’être plus équanime et sage.
Sans dogmes, sans prophètes (celui qui parle pour et inspiré par ... sa grande imagination) , sans maîtres (qu’il peut néanmoins être intéressant de lire, sans textes sacrés (qui servent parfois à justifier des crimes), sans cultes (qui relèvent quelque peu du grégarisme) , quoique , ça va de soi modestement, ouvert au dialogue sans le moindre prosélytisme, mais sans perdre une occasion d’offrir de partager une conviction.
Faut-il préciser à qui en douterait que l’auteur de ces lignes pense être à peine au tout début du début du chemin ?