Une tentative d’enfumage qui serait assez plaisante si elle avait la
moindre chance d’exister, ce qui semble bien improbable. DSK n’a
d’ailleurs pas avancé le moindre élément susceptible de donner un début
de corps à cette hypothèse.
Cela m’amène à penser qu’il s’agit là d’une
pitoyable manipulation de l’opinion visant à « blanchir » Strauss Kahn
dans l’esprit de ces naïfs de Français.
Allons Fergus, ! C’est de la méthode Coué ou quoi ??
Et le SOFITEL ??
Un peu de lecture vous sera peut être d’une quelconque utilité :
Cyrus VANCE Jr
Cyrus Vance Jr est le procureur de New-York. Dans le scandale impliquant Dominique Strauss-Kahn, c’est l’homme qui doit prouver la culpabilité de Dominique Strauss Kahn.
Cyrus Vance Jr a un lien avec la famille Sarkozy ! Selon des
informations publiées sur Mediapart, il existerait un lien entre Nicolas
Sarkozy et l’affaire DSK.
Le père de Cyrus Vance Jr fut ministre sous le président Carter de 1977 à 1980. Son collègue de travail n’était autre que Franck Georges Wisner… l’homme qui a épousé Christine de Ganay en 1977, la seconde femme de… Pal Sarkozy ! Elle fut pendant trois ans la belle-mère de Nicolas Sarkozy. « Celui-ci continue de lui rendre visite aux Etats-Unis. Le couple Wisner-Ganay a eu plusieurs enfants, dont David Wisner, porte-parole et correspondant de la campagne présidentielle de Sarkozy aux Etats-Unis« .
http://liesidotorg.wordpress.com/20...
Nicolas Sarkozy très proche du chef du NYPD, cette police soupçonnée de connivence avec les tabloïds américains.
Des liens très étroits unissent Nicolas Sarkozy et le commissaire
qui dirige la police de New-York, Raymond Kelly. Ce dernier très
populaire dans cette ville, est à ce poste depuis très longtemps ce qui
lui a permis de tisser des liens très solides avec ses homologues
français.Selon Le Nouvel Obs, il choisit comme consultant en
matière de terrorisme, le criminologue Alain Bauer qui est à l’époque
le conseiller en matière de sécurité de Nicolas Sarkozy, ministre de
l’Intérieur. De ce fait, Ray et Nicolas deviennent très proches.
Mais il faut également se poser la question sur la promiscuité des proches de Nicolas Sarkozy avec le procureur Cyrus Vance. Le site du journal Le Point, nous révèle que Jean-Claude Marin,
le procureur de Paris ami du président, s’est entretenu pendant trois
quarts d’heure avec le procureur new-yorkais qui dirige l’enquête sur
l’affaire de DSK, et cela le 16 mai, soit deux jours après l’arrestation
de l’ex-directeur du FMI.
Que se sont-ils dit ? Selon le haut magistrat français, l’affaire DSK n’aurait pas été évoquée, et nie avoir transmis aux autorités françaises des éléments du dossier. Mais on est dans l’incapacité de vérifier sa version des faits. Et on peut se demander si l’Élysée n’a pas été informé dans ses moindres détails de cette affaire, tout de suite après l’arrestation de DSK, ce qui peut-être très embarrassant pour le chef de l’État.
Sources : Le Nouvel Obs, Le Nouvel Obs, Le Nouvel Obs, Le Point, Wikipédia,
http://www.lepost.fr/article/2011/0...
Leonard LEVITT est journaliste, spécialiste de la police new-yorkaise, le NYPD. Dans un article paru
surson blog et sur le Huffington Post,
le journaliste américain s’interroge sur les fuites qui ont marqué le
début de l’affaire
DSK, notamment celles qui voyaient des morceaux du rapport de
police atterrir sur un site d’information français marqué à droite,
atlantico.fr. Il y voit une explication : les liens entre le
commissaire principal de la police de New York, Ray Kelly et le
président français, Nicolas Sarkozy. « Kelly et son épouse Veronica sont francophiles », affirme Levitt, qui
rappelle que cela est notamment dû aux voyages réguliers que Kelly fait à destination de la France, où siège Interpol.
Et ça n’est pas tout. Levitt en a encore sous la
semelle. Il précise encore que l’été dernier, Nicolas Sarkozy a invité
Kelly à Paris pour y assister à la remise de la
Légion d’honneur à Alain Bauer, le célèbre criminologue français et
expert en sécurité nationale. Pourquoi Bauer ? Parce que selon le NY Post, Bauer a permis à des détectives du NYPD d’être affectés en permanence à Paris dans le cadre de la
lutte antiterroriste. Un petit monde que ce petit monde là...
Enfin, et c’est là sans doute où le papier de Levitt est instructif, le
journaliste américain formule une remarque relative au comportement de
Kelly concernant les fuites
à charge contre DSK et qui ont exaspéré ses avocats, fuites qui
proviendraient du NYPD et dont certaines ont fini par inonder la France
via l’Atlantique.
Dans les premières vingt-quatre heures suivant l’arrestation de Dominique Strauss-Kahn, le NYPD avait estimé que les faits s’étaient déroulés « aux environs de 13 heures ». Ensuite, les enquêteurs ont revu leur version initiale pour assurer que l’agression présumée avait eu lieu « vers midi ». L’heure est déterminante, puisqu’aujourd’hui toutes les parties s’accordent sur l’heure de départ de Dominique Strauss-Kahn du Sofitel. Dans le document remis hier à la justice pour demander sa remise en liberté sous caution, ses avocats précisent en effet que leur client a fait son « check out »à 12h28 samedi, ce qui est également l’heure avancée par les procureurs et confirmée par le Sofitel.
Un « groom » entre dans la chambre, enlève le plateau du petit déjeuner et dit à la jeune femme qu’elle peut entrer dans la chambre et effectuer son travail car il n’y a plus personne ?? Mais, me semble-t-il, on fait tout cela après être assuré par la Direction de l’Hôtel que la chambre est libre et que le nettoyage peut être réalisé pour un autre client ?
Pourquoi la femme de ménage n’a t’ elle remarqué aucun signe de la présence du client dans la chambre en entrant, non plus ?
De qui la femme de ménage a-t-elle reçu l’ordre de venir dans la chambre de Dsk ? Y est - elle allée d’elle-même ?
Ce point de détail interpelle également Katline : « Le jour où vous rendez votre chambre, la femme de ménage qui sait que vous allez la rendre n’est-elle pas censée faire le ménage après que les clefs soient rendues ?
Le Figaro révèle
que la photo de DSK était affichée dans le local où se changent les
femmes de chambre afin d’indiquer la présence d’un client VIP.
Il faut noter un détail qui n’en est peut-être pas un. L’hôtel où le fait-divers s’est déroulé est un Sofitel. Or la chaîne Sofitel est une filiale du groupe Accor, dont l’actionnaire de référence est le fonds Colony, dont le représentant en Europe (pour Colony Capital), Sébastien Bazin, est très proche de Nicolas Sarkozy. Bien sûr, il peut s’agir d’une coïncidence, mais la rapidité avec laquelle l’info est parvenue à un militant UMP laisse rêveur.
Autre « anomalie » pour certains observateurs de la chronique judiciaire : le luxe de détails fournis par les services du NYPD à la presse américaine, plusieurs heures avant le prononcé de l’inculpation de DSK dans la nuit de samedi à dimanche, vers 2 h 15 du matin. De fait, le porte-parole du NYPD a évoqué son inculpation pour « délit sexuel, tentative de viol et séquestration de personne », avant minuit. Il a aussi largement évoqué les circonstances précises de l’agression, en rapportant les propos de l’employée sur DSK, sortant « complètement nu de la salle de bain pour l’agresser par-derrière »...
Certaines informations, citant un rapport rédigé par le consulat général de France à New York, avaient alors affirmé que des « traces de griffures » avaient été observées sur le torse de l’ancien ministre socialiste. Ce qui n’a pas été confirmé.
Le Daily News
au contraire rapporte que des sources affirment que les examens
médicaux n’ont montré ni traces de griffures, ni traces de coups.-
L’examen des vêtements de Dominique Strauss-Kahn : Interrogée par le Nouvel Observateur,
Soizic Le Guiner, experte en empreintes génétiques près la cour d’appel
de Rennes, affirme "S’il était nu, comme le dit celle qui l’accuse, je
ne vois pas l’intérêt, a priori, d’analyser ses vêtement"
Glissements horaires.
Dans les premières vingt-quatre heures suivant l’arrestation de Dominique Strauss-Kahn, le NYPD avait estimé que les faits s’étaient déroulés « aux environs de 13 heures ». Ensuite, les enquêteurs ont revu leur version initiale pour assurer que l’agression présumée avait eu lieu « vers midi ». L’heure est déterminante, puisqu’aujourd’hui toutes les parties s’accordent sur l’heure de départ de Dominique Strauss-Kahn du Sofitel. Dans le document remis hier à la justice pour demander sa remise en liberté sous caution, ses avocats précisent en effet que leur client a fait son « check out »à 12h28 samedi, ce qui est également l’heure avancée par les procureurs et confirmée par le Sofitel.
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