Bien dit !
Je pense que les financiers américains souhaiteraient également prendre des parts des banques européennes avec leur monnaie pourrie dont ils regorgent. Cellel-à même qui remonte face à l’Euro. Ils sont forts ces américains !
« Les banquiers se posent la question : est-ce que mon partenaire dans ces connexions interbancaires, et le partenaire de mon partenaire, etc. est solide ? »
Imposer aux banques l’arrêt des prêts interbancaires, les obliger, donc, à souscrir auprès de la BCE et de remettre leurs liquidités également, nous permettrait d’y voir plus clair dans tout ce fatras.
La loi Bâle 3(et non blâme 3), impose un minimum de 9 % d’actif à posséder par une banque par rapport aux prêts qu’elle concède. Cette mesure est très controversée par les banquiers ; cela me semble pourtant bien faible en cas de crise grave. Ces messieurs aiment se faire peur.