Nicolas Dupont-Aignan est le nouveau Philippe de Villiers.
Son rôle aujourd’ hui est le même que celui que tenait l’ agité du bocage dans les années 80-90 : il s’ agit de présenter aux français une personnalité sans charisme, limite repoussante, pour incarner le souverainisme. Comment adhérer à une ligne politique portée par une caricature de foireux à la tronche de premier de la classe, surtout quand cette ligne politique est encore minoritaire ?
Pour mémoire, de Villiers a été financé par Robert Maxwell, le magnat de la presse, agent du mossad et du MI6 à ses heures perdues.