Si, si, Beaudelaire à écrit dans Du haschisch et du vin une comparaison raisonnée du vin, du haschisch et autres produits enivrants :
« Si un gouvernement voudrait corrompre son peuple, qu’il lui donne le haschisch » !
Il a même rajouté « Cela ne fait ni un citoyen, ni un soldat » !
L’avachissement du citoyen-soldat, parfois émeutier ou révolutionnaire, c’est peut être le but stratégique des bobos soixante-huitards « écologisants.
Pour moderniser le propos, l’avatar ultime de la société de consommation »J’achète, je consomme, je jouis" !