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baska 11 février 2012 16:49

Ce Richard Millet est un névrosé au passé douteux, il a confessé s’être engagé auprès des forces phalangistes chrétiens libanais (chrétiens maronites) proches de la mouvance extrémiste israélienne. Ces phalangistes ont participé entre autres sous le commandement du criminel sharon au  massacre de Sabra et Chatila, une boucherie sans nom. Le névrosé n’a certes pas assisté à ce massacre mais il a révélé dans « confession négative » son passé de mercenaire au Liban : "J’ai dû tuer des hommes, autrefois, et des femmes, des vieillards, peut être des enfants" s’est-il confié. La place de cet énergumène est dans un asile psychiatrique.

 Les propos nauséabonds que ce gus a tenus dans cette émission, les auditeurs de France Culture les ont déjà entendu en juin dernier. Ce jour là, ce névrosé présentait son livre « fatigue du sens« et pendant près d’une heure dans l’émission du sioniste finkelcrotte, il a débité les mêmes propos orduriers :

« Je vis, lorsque je suis en ville, notamment dans des espaces comme le RER, dans une situation d’apartheid volontaire, je m’exclus moi-même d’un territoire et de groupements humains où je ne me sens plus moi-même. (...) Parce que quand je suis le seul Blanc, ça me pose de telles questions que je ne peux que m’exclure. Je n’ai pas de réponse à ça. Et quand cette population dans laquelle je me trouve est fortement maghrébine, alors là je suis encore moins... ».

Le lien de l’émission en question :

http://www.franceculture.fr/emission-repliques-au-coeur-de-la-france-2011-06-11.html 

Voici un autre extrait, tiré de son livre «  L’opprobre » où il expose son amour pour son prochain :

« Dans le métro, il ne reste plus qu’un siège dans un carré de quatre places : je m’y assois près d’un Pakistanais qui pue les épices, d’un vigile caucasien dont le chien empeste le mouillé, d’une fillasse en chaussures de sport qui sent des pieds et d’un type, debout près de moi, qui exhale une haleine chargée de tabac froid. Je me lève, cherche une autre place : il n’y en a pas. Je reste donc debout, entre un Noir sentant un mélange de haschich et de transpiration et une ménagère qui écoute si fort son mp3 qu’à elle seule, en oscillant la tête de droite à gauche et inversement, elle résume l’ilotisme contemporain. » (p. 132).

Il est utile de rappeler à ce raciste que « les immigrés de l’intérieur » d’hier étaient ses ancêtres venus du Limousin pour construire les immeubles haussmanniens. Ces braves maçons étaient à l’époque victimes de quolibets, les parisiens les traitaient de « mangeurs de châtaigne ».


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