Ce Richard Millet est un
névrosé au passé douteux, il a confessé s’être engagé auprès des forces
phalangistes chrétiens libanais (chrétiens maronites) proches de la
mouvance extrémiste israélienne. Ces phalangistes ont participé entre autres
sous le commandement du criminel sharon au massacre de Sabra et Chatila, une
boucherie sans nom. Le névrosé n’a certes pas assisté à ce massacre mais il
a révélé dans « confession négative » son passé de mercenaire au
Liban : "J’ai dû tuer des hommes, autrefois, et des femmes, des
vieillards, peut être des enfants" s’est-il confié. La place de
cet énergumène est dans un asile psychiatrique.
Les
propos nauséabonds que ce gus a tenus dans cette émission, les
auditeurs de France Culture les ont déjà entendu en juin dernier. Ce jour là,
ce névrosé présentait son livre « fatigue du
sens« et pendant près d’une heure dans l’émission du
sioniste finkelcrotte, il a débité les mêmes propos orduriers :
« Je
vis, lorsque je suis en ville, notamment dans des espaces comme le RER, dans
une situation d’apartheid volontaire, je m’exclus moi-même d’un territoire et
de groupements humains où je ne me sens plus moi-même. (...) Parce que quand je
suis le seul Blanc, ça me pose de telles questions que je ne peux que
m’exclure. Je n’ai pas de réponse à ça. Et quand cette population dans
laquelle je me trouve est fortement maghrébine, alors là je suis encore
moins... ».
Le
lien de l’émission en question :
http://www.franceculture.fr/emission-repliques-au-coeur-de-la-france-2011-06-11.html
Voici
un autre extrait, tiré de son livre « L’opprobre » où il
expose son amour pour son prochain :
« Dans
le métro, il ne reste plus qu’un siège dans un carré de quatre places : je
m’y assois près d’un Pakistanais qui pue les épices, d’un vigile caucasien dont
le chien empeste le mouillé, d’une fillasse en chaussures de sport qui sent des
pieds et d’un type, debout près de moi, qui exhale une haleine chargée de tabac
froid. Je me lève, cherche une autre place : il n’y en a pas. Je reste
donc debout, entre un Noir sentant un mélange de haschich et de transpiration
et une ménagère qui écoute si fort son mp3 qu’à elle seule, en oscillant la
tête de droite à gauche et inversement, elle résume l’ilotisme contemporain. » (p. 132).
Il
est utile de rappeler à ce raciste que « les immigrés de l’intérieur »
d’hier étaient ses ancêtres venus du Limousin pour construire les immeubles
haussmanniens. Ces braves maçons étaient à l’époque victimes de quolibets, les
parisiens les traitaient de « mangeurs de châtaigne ».