votre article commence comme une nouvelle de Stefan Zweig
(« la femme et le paysage, » je crois)
tout comme Maupassant il croyait aux forces de l’esprit en tous cas que la conscience humaine n’était pas la mesure de toute chose,
la science et sa recherche du vrai, n’est pas incompatible avec une certaine humilité qui laisse place à l’inconnaissable, et la possibilité d’une réalité irréductible à la seule raison