En 1945, dans son bunker, Hitler envoyait contre l’ennemi des divisions de réserve et se préparait à déchaîner sur sa tête des armes secrètes. Dans son entourage, personne n’osait lui dire que ces divisions et ces armes n’existaient pas. Dans les rues de Berlin, les défenseurs évoquaient la victoire finale (qui sait, ils avaient peut-être eux aussi une "intuition) alors que les Russes allaient bientôt leur marcher sur la gueule...
Sans comparer le Nabot de Hongrie au moustachu germain, il flotte dans l’air un parfum de folie et de négation de la réalité. Franchement, j’ai peur de ce qu’il nous faudra encore entendre et voir jusqu’au 6 mai. Au début, je trouvais ça drôle. Désormais, ça me glace les sangs...