J’aime beaucoup Mélenchon, et je pense qu’il faut le prendre au sérieux quand il dit qu’il n’aime pas la personnalisation des campagnes présidentielles.
Si on écoute son discours de la Bastille, on s’aperçoit qu’il ne dit pratiquement jamais « je ». Il dit « nous ».
Je trouve Mélenchon sidérant de maîtrise. Mais vraiment, il y a mieux encore dans cette campagne : le collectif est de retour.
« Où on était pendant tout ce temps ? » « On se manquait »... « On s’est retrouvé ».