« C’est de la tristesse que chacun ressent pour Dominique Strauss-Kahn »
Rien de choquant là-dedans, être triste pour un ami ne signifie pas ne pas l’être justement parce qu’il a très gravement fauté et qu’il n’a pas fini d’en payer les conséquences.
ça ne signifie pas non plus, ne pas être solidaire des victimes, pure procès d’intention.
Par ici l’expression idoine est : « Sois du côté de ton frère qu’il soit opprimé ou qu’il soit oppresseur » avant de préciser plus loin : « s’il est opprimé assiste le, s’il est oppresseur reprends le et arrête le »
Ce n’est pas comme certains présidents de la république de ma connaissance qui nomment DSK à la tête du FMI puis méprisent littéralement sa famille politique pour l’avoir soutenu...