Merci Ariane pour ce superbe texte auquel je m’associe pleinement.
Il nous fallait un Homme et ce fût celui-là.
Il n’est pas l’homme providentiel, il est celui qui montre l’horizon, qui libère l’espace, qui souffle sur la tristesse du fatalisme et de la soumission le vent joyeux des possibles multiples et infinis. Il n’est pas une statue à laquelle on voue un culte, il est un homme qui relie les hommes et les réconcilie enfin avec leur destin.
Moi, le fils du communiste, je croyais ne jamais le vivre et je le vis, merci à lui et merci à nous tous !