« ...la volonté nationale, elle, incarne une nécessité de continuité et de permanence autour des grands enjeux. »
Pour dégager une volonté nationale, il faut qu’existe préalablement une homogénéité culturelle et mentale, qui fait défaut à la France d’aujourd’hui.
La secte des droits de l’homme a atomisé la société et seule subsiste la perception individualiste des réalités et des besoins du pays, au détriment de toute vision collective.
C’est un des crimes qu’il faut imputer à la gauche, et l’un des plus graves. Parce que l’un des plus difficiles à réparer.
La présence de plusieurs millions d’allogènes absolus, totalement étrangers à la culture nationale, aggrave encore la situation.
On ne le dit pour ainsi jamais, il faût savoir que si le service national a été supprimé, c’est que toutes les tentatives d’incorporation des immigrés de deuxième et troisième génération, se sont soldées par des échecs retentissants, ces recrues s’étant avérées imperméables à toute forme d’attachement au pays d’accueil.
Dans l’armée, cela s’est traduit par une insubordination massive, totale et définitive, à tel point que plutôt qu’une exemption anti-républicaine des éléments perturbateurs « en raison de leur appartenance ethnique », il est apparu inévitable de supprimer l’obligation de servir le pays.