Frida,
Martine reste sourde aux chants du ténébreux (veuf, inconsolé ...) mi héros mi protagoniste, insensible à ses complaintes,
réalisant avoir porté en son sein quelque démon rebelle à ses propres engeances,
30 ans de gestation laissent des traces et une mutuelle incompréhension,
lui même restant tout dévoué à sa nature, qu’il nomme destin,
amen
qu’il soit donc élu, là ou au Diable Vauvert,
pour sa personne et les siens,
démériteraient donc plus que d’autres ?
ceux qui ne l’ont jamais adulé ne lui planteront pas les premières banderilles.
« de tous les démons, c’est toi que je hais le moins »
enfin presque ... parce que c’est aujourd’hui.
alors, que ne lui concèderait-on, pour prix de quelques articles aux contours touchants-tranchants
qu’adviendrait il de avx et des ses brûlots si, lui aussi, telles les vestales déchues de sarkozia, disparaissait du scope politico-média.
sympa votre présentation, délicatement trash,
« very attractive »
opinion assortie de quelques hésitations (curiosity killed the cat)
la littérature féministe (de combat ou non) est en retrait ces temps ci, ne trouvez vous pas ?
il est vrai que les révolutions des hommes ne libèrent jamais la condition féminine , voire la contraignent davantage.
quid d’une révolution féministe ?
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=tukqRdtYDoU#t=20s
precious illusions, privilège des humains , non ?