A certains égards, l’auteur de l’article semble raisonner comme s’il fallait prendre les « grands média », c’est-à-dire ceux à qui la logique commerciale tient lieu de boussole, comme arbitre : une info ne deviendrait réellement crédible que si on peut la lire dans les grands journaux. Et pourtant, il se montre très critique vis-à-vis des média dominants, soumis à toutes les manipulations... et soumis tout court. Soumis à l’ordre dominant, à l’idélogie diffuse du moment, à la mode, à la dictature du fic et de la pub.
N’y a-t-il pas là une contradiction à résoudre ?