Autre démonstration du poids de l’émirat
dans la vie politique française, il a obtenu le vote à l’Assemblée et
au Sénat au début de l’année 2008 d’un statut fiscal exorbitant pour ses
investissements en France. Les investissements immobiliers ne sont pas
imposables sur les plus-values et les résidents qataris en France ne
payent pas l’ISF pendant leurs cinq premières années de présence..........
Lire :
http://2ccr.unblog.fr/2011/12/18/comment-le-quatar-a-achete-la-france/