Un autre problème également qui n’est pratiquement jamais évoqué par les pro-photovoltaïques :
La pluie va venir déposer sur la surface du verre des capteurs une couche de poussière, et c’est particulièrement vrai lorsqu’il n’a pas plu depuis un bon moment, le temps que les quelques gouttes lavent l’air.
Bref, ça salit les vitres, et assez rapidement ça fait chuter la production. De sorte que il faut en fait assez fréquemment laver les capteurs. Si vous les avez au sol c’est assez simple, si c’est sur le toit, ça devient un peu plus compliqué.
Je me rappelle d’ailleurs dans un reportage télé sur le sujet, il y avait un couple de retraités qui avaient investi, et chaque matin, le monsieur lavait toute sa surface de capteurs, à l’aide d’un jet puissant et d’une brosse télescopique très longue.Il pouvait se le permettre car sa villa était de plein pied, mais dès qu’il y a un étage, c’est adieu berthe : il faut alors monter sur le toit...
Sans aller dans cette extrémité, corvée de carreaux ne serait-ce que une fois par mois pendant 20 ans, non merci !