Nous n’avons plus de journaliste (ou si peu ). C’est avant d’être un métier, une passion, une vocation. Celle de la vérité et de sa diffusion : faire connaître. Aujourd’hui c’est un poste comme un autre. Il n’y a plus ce souci de la vérité qui doit théoriquement guider le journaliste. A partir de là c’est la démocratie entière qui se trouve menacée.