Désolé, le sort des harkis a été réglé par eux
même à la suite des accords d’Evian avec ces 3 options :
- Sans indemnité vous basculez du régime
Français à celui d’Algérien ou vous y serez intégrés dans l’administration nouvelle avec tous vos avantages
reconnus par le nouvel état.
- Vous quittez l’armée ou l’administration 2 cas
se posent à vous :
a) - Vous voulez garder votre poste, vous serez alors mutés et rapatriés sur la France ou vous y serez naturalisés.
b) - Vous désirez rester dans votre pays, vous
toucherez un pécule correspondant à votre grade, au temps passé etc...
Cet accord a été signé par les deux parties et
respecté par une seule « La France ».
Les fourbes du FLN se sont empressés d’abord
de voler les pécules(non négligeables) et ensuite d’assassiner les porteurs appelés pour l’occasion « traitres »
alors qu’ils avaient donner leur accord et que ces gens avaient cru en leur
parole. Puis progressivement, l’épuration s’est faite en virant d’abord les personnels administratifs en les rouant de coups.
Connaissez vous le sort des
harkettes ?
Personne n’en parle et pourtant 1 ou 2
bataillons de femmes qu’on appelait les harkettes ont bien existé. Aux accords
d’Evian, toutes mariées elles décidèrent pour ce motif de rester au pays et prirent donc l’option du « pécule ».
Contrat rempli par la France qui a procédé aux versements adéquats.
Du coté Algérien la haine est arrivée aussitôt,
accompagnée de débordement inimaginables, ces pauvres filles ont été détroussées de ce
pécules puis battues, éventrées et égorgées en public, elles, mais aussi leurs maris et
leurs enfants, et ce en plein jour et en pleine rue.
Maintenant on accuse la France ? On parle de
génocide collectif ?
Si vous n’avez pas de mémoire au moins
intéressez vous à l’histoire, les faits y sont gravés à jamais et non falsifiés.
Qu’est il arrivé ?
Le contrat a été rempli, les harkis et le
personnel administratif ayant opter pour la métropole sont rentrés en France y
ont été assimilés et logés, j’en connais beaucoup. Ils ont pour leur travail perçu chaque mois sur place, leur salaire et perçoivent donc maintenant leur retraite comme tout un chacun. Ceux là ne
demandent d’ailleurs rien.
Les autres, devant l’état meurtrier ambiant,
certains de ceux encore vivants se sont adressés à la France pour rentrer, là
rien n’avait été prévu puisqu’ils avaient opter pour l’Algérie et avaient déjà touchés rappelons le, leurs indemnités de séparation(Ils désiraient être Algériens). Que faire dans un pays qui n’a plus sa raison
alors qu’on est considéré par celui-ci comme une sale puissance coloniale et que
d’autres accords nous lient ?
Devant cet afflux, officiellement c’était le
refus d’embarquer les gens qui se présentaient aux bateaux. Mais, des
ordres ont quand même été donnés pour faire montre de laxisme, certes au compte goutte en
évitant l’incident diplomatique, mais un peu quand même car la police
Algérienne, maîtresse dans son pays, refoulait tout le monde et montait la
garde 24/24.
Toutefois des militaires reconnaissants et
voyant leurs camarades dans le désarroi le plus complet, sachant ce qui
arrivait, ont désobéi en les rapatriant cachés dans des malles, planqués dans
les matériels, camions etc... Il en est quand même rentré une quantité
suffisante, eux et des Algériens quittant avec leur famille ces lieux de
guerre et passant clandestinement les frontières.
De cet arrivage les autorités ont été dépassées
par les événements et ont du parer au plus pressé, dire maintenant qu’ils ont
été parqués sans eau etc... C’est ne pas avoir vécu cette époque ou bon nombre
de Français vivaient eux aussi dans des baraquements précaires fait de planches, appelés provisoires, beaucoup même sans eau. Dans certains coins de la Normandie par exemple, l’eau courante
n’arrivera que 10 ans plus tard, alors que eux, une situation
incompréhensible maintenant, avait le robinet avec l’eau courante. Dire qu’ils faisaient des envieux serait certainement déplacer, mais cela à quand même élever des observations, pourquoi eux et pas nous ? Une
situation qui ne satisfaisait personne, y compris les autorités qui se
retrouvaient avec des milliers de personne à nourrir, loger et soigner. D’où ces
constructions à la hâte etc... S’il y a beaucoup à redire je trouve que ces
enfants qui réclament des droits pour leurs parents exagèrent quelque peu. Mes
frères qui ont fait 27 mois là-bas, rappelés dans l’armée comme beaucoup à cette époque de troubles, eux ne touchent rien d’autres
que ces 27 mois seulement validés au titre le l’armée et qui ne donne aucun supplément
de retraite, seulement sur la durée pour avoir pu partir à 60 ans.
Il ne faut pas changer l’histoire, celle que je
viens d’évoquer se trouve être la réalité. Il serait grand temps que les
associations ne soient pas où intéressées où aveuglées par des enfants qui
aimeraient surtout, bien sucer la mère patrie.