Aux dernières nouvelles, le « X » représente 60% des échanges du Net.
Il faut dire qu’il y a la une mine de données pour les scientifiques. Comprendre les mécanismes de la sexualité humaine peut être utile dans de nombreux domaines : médecine, économie ... On pourrait comparer la popularité de certains phantasmes chez les populations partageant le même territoire, culture, religion... Les données existent, il suffit de les exploiter, ne serait-ce que pour démasques les trop nombreux préjugés et tabous inutiles ; en délester l’esprit humain peut être le remède contre la crise, qui sait.