Bonjour Vincent V,
oui, à méditer comme vous dites. Cet essai qui mélange un peu les genres ne me déplait pas, mais comment peut-on, dans un tel contexte, passer à coté du solipsisme ?
Je crois quant à moi, qu’il y a deux réalités : ce que voit le solipsiste dans un premier temps ; et ce qu’il voit augmenté de ce qu’il ne voit pas , dans un second temps, cet inconnu qui fait qu’il voit.
La première est du domaine de la physique, de l’entropie ; et la seconde, celui de la philosophie : la néguentropie.