M’est d’avis que l’auteur ne connait pas vraiment Marseille. Vous en tirez un tableau digne du tableau que dressait la presse américaine au moment des émeutes en banlieue Parisienne : « C’est Bagdad » Promenez vous dans Marseille et vous verrez que les gens n’ont pas vraiment peur de se prendre une balle perdue dans deux semaines.