Finalement, nous sommes un peu comme les britanniques.
Après avoir eu Thatcher, ils ont eu Blair, qui n’a rien changé.
Nous, après avoir eu Sarkozy, nous avons Hollande, qui ne change rien.
Dans les deux cas, l’alternance est factice, conduisant toujours la même politique anti-sociale ; le même enfoncement dans une crise voulue et peut-être même commandée par les grands financiers qui y trouvent là matière à spéculer.
Plus le pays s’enfonce, plus il devient vulnérable, et est la proie des prédateurs internationaux.