Rendons à césar ce qui appartient à César.
Si ces élections démontrent a quel point l’UMP peut se pourrir de l’intérieur, elles ne le doivent qu’à un seul homme : son secrétaire général actuel.
Who else ?
On avait déjà appris comment JF Copé avait mis des batons dans les roues à Fillion en l’empêchant d’avoir accès aux fichiers des adhérents... !
Fillion ne fait qu’exprimer son dégout devant cette situation incroyable et Copé son superbe mépris pour un adversaire pourtant favori, qu’il a couillonné en beauté.
j’éviterais de les mettre dans le même panier. trop facile, trop réducteur.
Je note aussi que Fillion, instruit des nouvelles pratiques de ce parti, accepte le jugement de paix de Juppé, ce qui ne semble pas être le cas de Copé...pourquoi ?