La crise n’est pas, à ce que nous rabachent les politiques et les médias, financière car il y a de l’argent, certes non redistribué. La crise est politique car les technocrates, en dévoilant leur visage de représentant de l’intérêt financier, sont de moins en moins représentatifs des citoyens. Exemple, les crises internes du ps et de l’ump qui, menant une politique individualiste, se coupent de leurs militants. La révolution actuelle de nos sociétés se fait avec les ingrédients de l’individualisme, de l’abêtissement, du repli sur soi, de l’éducation citoyenne, des nouvelles technologies biologiques, informatiques, industrielles. Je pense que le chaos n’est pas loin, reste à savoir si nos « dirigeants » sauront réagir en prenant les mesures nécessaires à l’avènement d’une société durable.