Le tri sélectif est non seulement un casse-tête mais aussi une contrainte, une préoccupation quotidienne et qui parfois n’a pas de sens, en tout cas pas celle qu’on lui prête : l’’intérêt écologique. Et, je sais de quoi je parle, pas besoin de me rincer le gosier au chablis !
Que le Chablis dénoue les langues, entre potes, tant mieux si l’on peut profiter du débat que vous mettez sur la place publique.
Dans mon petit patelin, situé entre ville et campagne, le tri sélectif est non seulement rendu obligatoire par ordre du Maire, mais est également rendu payant par arrêté communal et coûte 1 euro le kg de déchet.
Et, où vont les déchets payés un Euro le kg, récoltés par une entreprise privée ? à 1,5 km de mon domicile, dans une décharge à ciel ouvert, interdite au public !
S’il y a quelques « bons français » qui pensent en leur fort intérieur qu’on les prend pour des idiots, utiles à remplir les poches de Véolia, pour autant, il ne faut pas les ranger dans le camp des brebis galeuses !