Je me suis beaucoup amusée pendant toute la lecture de ce récit.
D’autant qu’au départ, il rejoint presque ma propre croyance, à savoir que nous ne nous éteignons pas définitivement, selon le principe d’Antoine Lavoisier : « Rien ne meurt, rien ne se crée, tout se transforme ».
Ainsi, je suis persuadée ne pas disparaître mais ne m’imagine dans les limbes que de façon transitoire, le temps de me transformer en végétal, animal, ...
Mais, ce récit, qui n’est pas si « puéril » que l’auteur veut le faire croire, non seulement amuse mais il amène à réfléchir.
« Ah bon ! À quoi ? » Demanderont des sceptiques. Eh, bien, selon l’auberge espagnole, peut-être déjà à ce que l’on veut y trouver et, pour les plus curieux et désireux d’apprendre, ils y trouveront d’infinies possibilités de cogiter.