Depuis la 1ère république, les gouvernants français n’aiment pas quand le peuple se rebiffe (ils tirent plus vite que leur ombre si besoin). Ils n’aimeraient pas du tout que le droit de vote, qui est une arme pour les maintenir au pouvoir, se retourne contre eux. Pour les nantis le peuple doit rester à sa place et eux à là leur. C’est la seule justification de la « démocratie » participative.
Vu la situation économique et le cout d’état qui avait mis Mario Monti au pouvoir, les Italiens ont fait le mieux possible en votant M Grillo. Ils ont bien joué sur ce coup là et nous faisons pale figure avec notre roi fainéant’ Flambi 1er.
« Le changement c’est maintenant » : les Italiens ont reçu le message 5/5 ... Pas nous !