Bonjour fatale,
Je pense que vous vous trompez en pensant qu’un sous-prolétaire qui « vole, frappe, tue » le fait forcément pour « vivre ou survivre ».
Le phénomène que déplore l’auteur, ce sont les actes de violence purement gratuite. Violence qui est l’exact inverse d’un acte de violence révolutionnaire critique contre l’ordre de l’argent (insurrection de 1830, 1848, Commune de Paris etc).
Aller faire crâmer la peugeot du voisin boulanger, insulter les petites gens dans la rue ou même tenter de violer une malheureuse jeune fille qui est au mauvais endroit au mauvais moment... Sont-ce des actes ayant pour objectif de « vivre ou survivre » ?