• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


En réponse à :


Yvance77 10 mars 2013 17:18

Salut,

Ce genre d’excès de caporalisme m’est arrivé il y a peu. Au Fairmont Monaco - le nom est vrai et je me ferais ce point d’honneur, et s’ils veulent me poursuivre libres à eux, je suis leur homme au tribunal !

Je pars sur un contrat saisonnier. Aucune erreur, jamais en retard, disponible, courtois et aimable avec la clientèle... je pense savoir faire d’un bon professionnalisme. Mais ce n’est jamais assez pour certains. Huit heures à rester debout, derrière un comptoir, c’est long, les jambes brulent... et quand ces heures sont en plus de nuit, je garantis que cela compte double.

Je faisais une pause vers les quatre du matin, jusqu’à ce que le manager de nuit refuse et m’impose de la prendre immédiatement à mon arrivée. Ce qui fait qu’ensuite c’est toute la nuit debout sans quitter le comptoir. Je m’étonne et refuse. Le début des ennuis et mesquineries en tout genre. Jusqu’à ce que je dise que cette personne (Walbrecq) se comporte d’une manière sadique. Son plaisir voir les autres en chier, lui étant assis royalement, tel Caesar sur son trone, le regard scrutant au loin. Et ces collègues pas mieux hormis un. Le second étant le péteux de service, celui qui pige que dalle au job, et poignarde dans le dos... tout le mode sa mère y compris.

Je me plains de cela au délégué du personnel. Et à la chef de service (Massiera), tout comme les ressources humaines (Boucicot) sont plus fait pour continuer d’enfoncer la tête sous l’eau à ceux qui se noient. Donc rien... et la grande direction de toute façon s’en fiche et couvre cela. Un jour de formation, ou l’on me demande d’être honnête, je le suis et je savais bien que j’allais signer mon arrêt de mort. Devant les bleues bites, j’avoue qu’il traine une ambiance assez malsaine, et qu’il serait bien de faire quelque chose.

Deux semaines plus tard on ne me renouvelle pas le contrat - que de toute façon je ne souhaitais pas !

Mais cela en dit long sur la lâcheté des gens, le manque de courage d’une hiérarchie, et surtout du silence d’une direction plus appliquée à distribuer la schlague que de veiller à la bonne santé mentale au sein de la société.

La seule envie que l’on a après cela c’est de leur foutre à tous un poing en pleine gueule, mais tout ce qui précède ne comptera jamais au yeux de la justice, ce que font subir ces salauds est bon pour le teint sans doute !


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON


Palmarès