Soyons sérieux 5 minutes !
Vous parlez de cette élection comme s’il s’agissait d’une élection démocratique. Comme si c’était réellement la majorité qui décidait. Mais n’oublions pas qu’il s’agit d’une élection à la majorité des deux tiers, sans disqualification des « candidats » trop peu populaires comme dans nos élections républicaines. Dans c’est condition, l’élection d’un pape est plus le fit du hasard (ou de Dieu pour ceux qui préfèrent appeler cela comme cela) que le fait d’une majorité.