Plutôt bien vu ce papier, dommage que cela ne sorte pas dans les grands médias. A force d’entendre dire que les journalistes font n’importe quoi, pas un seul n’a le courage de remettre en question leur profession. Quant à l’affaire DSK, il n’a que ce qu’il mérite. Ses frasques et ses addictions sexuelles étaient connues partout dans le sérail politique. Personne n’a alerté qui que ce soit. C’est comme Mazarine, la fille de Mitterrand et Jean-Edern Hallier, condamné à se taire. Cela pose aussi la question de vie privée vie publique. Si ce n’est que quand on est patron du FMI, on doit se douter qu’on est observé !