Cahuzac avoue ses turpitudes. Et s’il dénonçait celles des autres maintenant ? Celles de son prédécesseur et copain, Woerth, qu’il s’est empressé de blanchir des son arrivée a Bercy ? Tant qu’a couler, il devrait emporter ses potes avec lui. Une bonne lessive de printemps le ferai paraître moins crade.