« cette belle aventure humaine que constitue ITER »
Tu parles d’une belle aventure...
Ce pétard fonctionnera au mieux une quinzaine de secondes avant d’exploser.
Dix-sept milliards dans cette poubelle, et encore on n’est pas foutu de payer les travailleurs à un tarif correct, on mégote...
On espère cent millions de degrés alors qu’à Sandia (Californie), on surfe sur les deux milliards de degrés, voire trois fois plus (voir les travaux très documentés de Jean-Pierre Petit sur son site).
Et pendant ce temps, la fusion froide, qui est notre avenir, piétine.