Ariane : comment expliquez vous cette statistique / 2 écoles de journalistes :
(avant présidentielle 2012)
(Participation 93% parmi les journalistes.)
- Hollande 37%
- Mélenchon 25%
- Sarko 12.5%
- Bayrou 12.5%
- Le Pen 0%
Eux, ceux sont les chiots de garde, parce qu’étudiants mais à la pensée stéréotypée « avec un uniforme dans la tête », mais chez les chiens de garde : idem avec la clique des soixante-huitards aux commandes des salles de rédaction...
En quatrième de couverture de son livre (La tyrannie médiatique), J.Y. Le Gallou dit :
« Les médias ne sont ni un contre-pouvoir, ni le quatrième pouvoir. Ils sont progressivement devenus le premier pouvoir : celui qui s’exerce sur les esprits. Plus inquiétant, ils ont même pris le contrôle des autres pouvoirs, intellectuels, politiques et judiciaires. »
Tous ont en commun de servir la banque.
J’en déduis que pour la mainstream journalistique ou propagandiste, Mélenchon fait partie du paysage audiovisuel acceptable de « moraline ambiante ».
(à contrario du FN notamment)
Cette respectabilité médiatique est suspecte / Mélenchon. (Même si celui ci les considère pour ce qu’ils sont...)
Des larbins profiteurs, imbus de leur personne et sans déontologie ?
D’ailleurs, « journaliste est la profession la plus détestée des français », ils ne s’y trompe pas !
Pourquoi Mélenchon (le révolutionnaire à l’eau tiède), est-il respectable pour la médiacratie qui l’invite avec bonhomie ?
Je pense que la réponse est dans son allégeance à l’UE...
Donc : Rhétorique sur la forme (blablas plus incisifs), mais continuité sur le fond, avec une médiacratie à la botte.