J’avais tendance à penser comme l’auteur, jusqu’à ce qu’on me fasse remarquer que tout le monde trouve « normal » qu’un enfant de boucher, de boulanger, de restaurateur reprenne l’affaire de ses parents.
Dans ces métiers, comme dans d’autres d’ailleurs, on parle couramment d’« affaires familiales ».
Pourquoi montrer du doigt ceux-ci et pas ceux-là ?