Très bel hommage que celui rendu ici au dernier des poètes-troubadours qu’a compté la France au siècle le dernier. Le voilà dorénavant au côté des Georges Brassens, Léo Ferré et Jacques Brel, pas loin des Barbara, Claude Nougaro et Charles Trénet, une brochette que Doulce France ne retrouvera pas de sitôt hélas, trois fois hélas.
En évoquant le « cosmopolitisme » d’Alexandrie dont vous faites état dans votre billet vous avez oublié de citer les « maltais » qui je crois savoir, étaient en nombre dans cette cité. Ma grand mère paternelle y était née de père et mère maltais. Et son sang qui chante si bien la Méditerranée ruisselle encore avec joie dans mes veines mêlé à celui des napolitains et des berbères.