Comme l’impression que dans le journalisme comme ailleurs, l’endogamie des élites prospère. L’action Aubenas vaut donc deux barils de Bourgues.
Le pauvre garçon devait être un de ces innombrables « petites mains » pigistes, à deux balles. D’ailleurs, pour un journaliste, faire du publi-rédactionnel, c’est bas de gamme, limite répugnant.
C’est cirer les pompes des grosses boites.
Autant à voir avec le journalisme que Sulitzer avec le roman, et encore je suis gentil.
Bref, c’est malheureux, d’autant plus, de se faire flinguer pour si peu.
Il semblerait que G.de Bourgues n’avait pas de fibre particulièrement subversive, ou alter, qui aurait pu expliquer l’ignorance des médias du PPA.
On peut donc, comme le dit l’article, se demander si magouille, petits secrest pognonesques et politiques n’auraient pas été mis à jour par de Bourgues.
Bien de soulever le lièvre. Quelques incohérences : le récit est donné, mais on parle, plus loin, de tortures. Quelle est la bonne version ?
D’après ce que j’ai lu ailleurs, ce publi-reporter n’est pas le seul à trépasser dans l’indifférence complète.