Toutes ces absurdités commencent de la même façon : par des mensonges.
Il y a très peu d’enfants de familles homoparentales et très peu d’études fiables. Des que l’on cherche les sources de leurs grandes affirmations, on découvre des machins portant sur très peu de cas et au statut scientifique nul. Ainsi, on nous a rebattu les oreilles sur le suicide des jeunes homo. La source était une étude d’Amérique du nord, portant sur peu de cas, ou on comparait les enfant homo rejetés par leurs familles au taux général de suicide, sachant que dans l’essentiel des cas on ne connait pas l’environnement et les causes de suicides de jeunes ni d’ailleurs leurs préférences sexuelles.
Il est avéré, documenté, connu, que tous les enfants adoptés connaissent des difficultés, des pathologies, psychologiques et physiques, très supérieures en tendance à celles des enfants « naturels ». Les enfants de familles homoparentales sont par définition, d’une manière ou d’une autre, des enfants adoptés.
Toute « étude » qui établirait qu’ils n’ont pas plus de difficulté que les autres enfants serait par définition homophobe.
Elle sous entendrait en effet que les homos ne sont pas des gens comme les autres....
On sait que derrière ces trucs, il y a un lobby bien organisé qui compte environ 5 000 personnes.
Mais il est évident qu’il ne parviendrait pas à se faire entendre, si ses préoccupations ne rejoignaient pas celles de celui beaucoup plus important des idéologues de gauche plu sou moins intéressés.
Leur but plus ou moins conscient et la destruction de la société civile civique citoyenne au profit d’un Etat deux ex machina, gérant nos vie a son profit et à celui de ses agents.
C’est pourquoi le combat contre ces textes absurdes est d’abord un combat anti totalitaire.