Se cabrer sur l’existence ou non des chambres à gaz empêche de parler du vrai problème selon moi.
C’est là où tu te trompes : sans chambres à gaz, pas de meutre de masse organisé et planifié, donc pas de crime des crimes. On ne parle plus du goulag 70 ans plus tard, mais on parle toujours des chambres à gaz. Sans chambre à gaz, pas de meurtre de masse et la Shoah se résumerait alors à une déportation meurtrière comme il y en a eu des dizaines d’autres dans l’histoire.