La dette et les finances publiques sont un sujet sérieux, pas un sujet de roman.
Mais bon, c’est pas très étonnant qu’on doive aborder les questions par là en France, vu qu’effectivement l’élection principale en France est un sujet de roman, au lieu de donner lieu à un débat sérieux ...
D’autre part, il est question d’un ratio dette/PIB de 90%, alors que la Belgique, l’Italie ont dépassé les 120% sans qu’on en fasse un roman de ce genre.
La prise en compte des retraites dans le ratio pour gonfler le chiffre sans réfléchir à ce que ça signifie, c’est une connerie.
Enfin ce livre est un beau symptôme du niveau du débat actuel.