’’Le journal a donc pris la décision de lui-même. ( de retirer l’article).
’’Le modus operandi dérange les auteurs, qui se demandent pourquoi les problèmes soulevés à la première relecture mais pas jugés limitants deviennent soudainement trop gênants.
’’Ils y voient la patte de Richard Goodman, devenu en janvier dernier rédacteur en chef adjoint, responsable des questions de biotechnologies. Ce toxicologue affilié à l’université du Nebraska (États-Unis) est un ancien de Monsanto, qui commercialise le maïs OGM en question, puisqu’il y a travaillé entre 1997 et 2004. Depuis, il collabore souvent avec l’International Science Life Institute (ILSI), une association de promotion de la science financée par des grands groupes de l’agroalimentaire, dont Monsanto. ’’
C’est là, mais pas que.